@Mr shahed : si vous leur cédez pour limoger Mr Jalloule, vous seriez leur cible suivant.
Le peuple Tunisien vous demande de combattre tout type de terrorisme.

A mon avis, certains d'entre-nous continuent à considérer que la résolution de litige entre dans un cadre vainqueur- vaincu.
Autrement-dit, le départ de Jelloul serait considéré comme faiblesse du gouvernement et sa persistance serait interprété comme faiblesse de l'UGTT.
En réalité, devant les faits constatés et l'impossibilité de communication de Jelloul avec les enseignants qui dénotent une faiblesse générale de gestion du ministère,
le recours de Jelloul à des sanctions abusives et collectives - des Directeurs - est un autre signe révélateur de la fin du problème pour son départ obligatoire et imminent.
Au sein d'un groupe, d'une famille, d'une structure quelconque, ministère, Direction, usine, ou d'un pays : si les employés, les fils et filles, les déserteurs, le peuple,....refusent en masse l'application des consignes du 1er chef , l'utilisation de la force abusive - sanctions disciplinaires, les conseils de discipline massifs, l'utilisation des armes,......ne serviraient à rien.
Au contraire, le départ ou l'exclusion de celui qui n'a pas pu gérer convenablement ses structures est la meilleure solution.
L'intérêt de nos enfants l'exige, peu importe Jelloul a bien fait ou non, a apporter des améliorations ou non car il n'a pas pu assurer la continuité de cet important ministère avec le refus de ses ordres et de ses consignes de la part de la majorité de ses collaborateurs.
Continuer à raisonner de la façon vainqueur- vaincu n'aura aucun sens devant l'amplification de ce phénomène dangereux. L'intérêt tout d'abord est de voir nos enfants en classe.
Il faut finir cette récréation qui a trop duré !!!

Au contraire, ainsi nous verrons que tous les intervenants gouvernement, UGTT, nos enfants, les parents le ministère de l'enseignement et aussi Jelloul ont gagné !
Soyez sûr, loin des esprits tordus , nous aurons tous gagné y compris Jelloul. ! Il suffit d'être un vrai sportif - pas comme les présidents des clubs CSS et l'étoile - d'un peu de courage dans ce sens , pour éviter de dégénérer et dans le seul objectif de '' finir cette récréation qui a trop duré ''

La meilleure décision est la démission du ministre.En fait tout ce qu'il dit avoir fait de positif est démenti par les syndicats,le personnel de son ministère et une grande partie de la société civile qui montrent le contraire de ce qu'il dit notamment en ce qui concerne les réformes,et ceci est grave parce qu'il ne s'agit pas de parler et parler sur les médias,sans cesse,dans le vide,sans avoir commencer sur des bases solides!Et il ne faut pas oublier que l'éducation est un domaine sérieux,et il ne supporte pas l'à peu près!

Qui peut le plus peut le moins .......Limoger Briki et supprimer un Ministère n'est pas plus difficile que mettre à la porte Jalloul dont la présence au Ministère de l'Education risquerait d'enflammer la rue et d'embraser le pays .Du reste, c'est une bonne occasion de repenser le reste de l'équipe et de redémarrer sur des bases solides une bonne fois pour toute .

Avis d'un expérimenté dans la résolution des litiges :
D'ailleurs,il n'y aurait pas d'autres choix pour un premier responsable qui est délaissé par la majorité de ses collaborateurs.
En fait, lorsqu'on commence à sanctionner abusivement et massivement une partie de ses collaborateurs qui refusent l'application de ses ordres, ceci représente simplement un très mauvais système qui ne plus résister à la pression et qui démontre amplement ses limites et une faiblesse générale. Donc, la meilleure solution est de démissionner ou de limoger l'effecteur - dans ce cas Jelloul- car sa persistance au recourir à la force
administrative et à l'application des textes de lois à l'encontre d'une majorité qui refuse ses ordres est un chemin sans issue qui risque de bousiller tout le système éducatif et d'enseignement.
Arrivé à ce stade triste qui a amené Jelloul à se bloquer dans les recherches des solutions, l'intérêt de nos élèves nécessiterait son départ ou bien son licenciement le plus rapidement possible.
En tout cas, nous n'avons pas espérer l'atteinte de ce stade - inquiétant et malheureux - qui a montré des lacunes flagrantes dans la gestion du ministère de l'enseignement, et qui, pourrait s'expliquer par - l'imposition de la force de l'UGTT - , mais devant cet état de fait qui prévaut actuellement, le départ de Jelloul - malheureusement - serait imminent par défaut flagrant de gestion des groupes, un manquement à ses devoirs et par
incompétence.
Tout retard de solution dans ce sens est une perte - sèche - à l'éducation , l'enseignement et à la Tunisie.