Je vais me limiter tout juste à l'interprétation et à l'analyse des raisonnements de Chakib d'habitude beaucoup plus - raisonnable et méthodique- et de son collègue Ben Salha.
02 avocats qui normalement les méthodologies doivent l'emporter sur les sentiments et sur le subjectif.
Uniquement de ce côté et de la façon de traiter la question et le problème posé , il me semble que Ben salha a réussi à détecter et déceler les fautes et les erreurs commises par Chakib au cours de son intervention.
En fait, jusqu'à preuve du contraire , l'inculpé est innocent , donc comment Chakib avance un tas d'évènements - qui resteront tous à vérifier - et des confirmations avant tout jugement.
Si nous pouvons accepter tout ce descriptif de n'importe qui et d'une personne normale qui n'a aucune formation - d'avocat -, il n'est pas admis de montrer tout cet acharnement en public .
On constate que le cerveau de Chakib - avec les sciences juridiques qu'il comporte - et son cœur ( avec peut être des états graves , inquiétants et alarmants vécus lors de l'ère de Ben Ali ne sont pas concordants.
Pour les personnes ayant vécus des faits tels que de dévoiler les filles et mêmes des femmes âgées devant son mari et ses fils, par la police durant l'ère de Ben Ali constituent des - flagrants délies et des dépassement difficilement supportables, mémorisables - dans le mauvais sens- et inoubliables.
Tout ceci peut créer des rancunes difficilement effaçables que Chakib - en sa qualité d'avocat- devrait supporter .
Certainement, c'est extrêmement difficile, c'est beaucoup plus de la théorie que de la pratique du métier , mais il faut se surpasser !!!!

La prochaine fois ben Amara et l'avocat chanteront «allahouahad allahouahad»