Un mental dans le coma

Bien évidement il s’agit du mental des politiques (hommes et femmes), aux affaires ou à l’opposition, ou dans la position ni ni .

L’état doit se reprendre, et se secouer.. La situation pousse à se poser plusieurs questions… l’opération police armée devant le tribunal de Ben Arousse, questionne énormément.

Sur le plan social et économique, on se demande s’il y a vraiment un état.. On entend qu’une député de Nida complote contre les solutions dans le bassin minier, on se pose des questions, …


Aujourd’hui :

La Tunisie a besoin d’une secousse qui provoquera une révolution mentale.. Mais tellement le regard du politique aux affaires est dans : comment réussir et produire un miracle avec les solutions imposées par l’ FMI,… ? Qu’en final, la réussite ne vient pas.. de plus le pays s’enfoncera plus plus dans les difficultés.. les plans de rigueur, les politiques d’austérité, n’ont jamais marché, que ce soit en Espagne, en Italie, en Grèce.. À titre
d’exemple,
aujourd’hui, en France, Macron veut provoquer un buzz pour faire croire à la modernisation du service public, aux législations code de travail,… La situation en France devient de plus en plus dramatique, surtout au niveau des politiques publiques de proximité que portent les collectivités territoriales, communes, métropoles, département, communautés d’agglomérations. L’élu Local n’a plus des marges de manœuvre.. Qu’il soit de gauche ou de
droite, il est mangé à la même sauce et dans la même cocotte-minute. Nous en Tunisie, vu l’ère révolutionnaire, par laquelle nous passons, nous avons plus de chance pour s’en sortir, si nous voulons ! Si nous voulons ! Si nous voulons !


Les élections municipales, les réussir dans l’organisation, est une première réaction positive.