Marzouki a insisté sur la nécessité de diffuser la culture des droits de l'Homme, de préserver la dignité de la femme et de ses droits économiques et sociaux à travers sa protection de l'exploitation, de la pauvreté et de la marginalisation, de manière à construire une société équilibrée.

De son côté, la ministre de la femme et de la Famille, Sihem Badi, a formé l'espoir de voir ce centre pilote, dont l'inauguration coïncide avec la célébration de la journée internationale des droits de l'Homme, devenir un espace d'assistance psychosociale aux femmes victimes de violence.

Elle a souligné la détermination de son département à mettre en place une stratégie nationale de lutte contre toutes formes de violence à l'encontre des femmes et des enfants.

Badi a mis l'accent sur le rôle joué par la société civile dans la diffusion de la culture de la paix sociale et le rejet de la violence à l'égard de la femme.