شريط ''نحبك هادي'' يحصد جائزة أفضل فيلم فرنكفوني في الدورة 22 لمهرجان الأنوار للصحافة الدولية الفرنسية

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باب نات - حصد الفيلم الروائي الطويل "نحبك هادي" للمخرج التونسي، محمد بن عطية، جائزة أفضل فيلم فرنكفوني خلال الدورة 22 لمهرجان الأنوار للصحافة الدولية الفرنسية بعنوان سنة 2017.

وذكر مخرج الشريط خلال حفل التتويج الذي نظمته أكاديمية الأنوار بباريس، مساء أمس الإثنين 30 جانفي أن الفيلم الروائي "نحبك هادي"، من إنتاج مشترك تونسي فرنسي بلجيكي، كان قد حصد عددا من الجوائز سنة 2016 من بينها جائزة أفضل فيلم في الدورة 66 لمهرجان برلين وجائزة أفضل عمل ضمن المسابقة الدولية للدورة 22 لمهرجان الفيلم الدولي بأثينا (اليونان).

جدير بالذكر أن جائزة أفضل فيلم فرنكوفوني التي أسندت لشريط "نحبك هادي" تم إدراجها للمرة الأولى خلال الدورة 22 لمهرجان الأنوار، علما أن أكاديمية الأنوار، المنظمة لهذه المسابقة، تضم حوالي 100 مراسل في 20 بلدا وتمنح سنويا جوائز لأفضل الأعمال السينمائية.


Comments


3 de 3 commentaires pour l'article 137721

Azzah  (France)  |Samedi 4 Février 2017 à 15:44           
J'ajoute que vu de France, c'est aussi un silence qui parcourt les couloirs du ministère de la culture, car tous savent combien ces prix en étant donnés à ces renégats vont à l'encontre de cette litanie "liberté éaglité fraternité... liberté de détruire sa maison, égalité de façade et surtout donnée par doses de paralysant, fraternité aucune ou si fraternité telle que la promouvaient les pères blancs de sinistre mémoire (quitte les tiens,
rejette ton père et ta mère et rejoins nous dans le combat que nous menons en catmini contre l'arabité, contre l'islamité, mais en bout de course que gagnera-tu ? au maximum un enterrement fleuri, mais toi en ayant trahi les tiens tu ne sera à nos yeux qu'un traître or nous nous méfions des traîtres).

Les français ont ici toujours un sourire en coin quand un prix européen ou plus précisément français est remis à un étranger, tout comme les pères blancs avaient ce même sourire en coin quand ils réussissaient à "convertir" u des nôtres.

Je n'exagère pas, je dis ce que je vois ici depuis au moins l'affaire Tasleem Nasreen.

Ceux qui nous respectent nous respctent parce que justement nous restons à notre place et ne montrons que mépris à tous leurs cadeaux.

Azzah  (France)  |Samedi 4 Février 2017 à 15:36           
Quand la France donne un prix c'est qu'elle a vu tout l'intérêt de le donner à celui dont la "création"est une insulte amonde arabe et par extension au monde musulman.

Et nos "intellectuels" ainsi qu'ils se nomment, idem pour nos "artistes", plongent te baissée dans ce reniement de notre civilisation, de notre culture arabe , rien que pour le plaisir si infantil de se montrer, gomminé pour les hommes, dénudées pour les femmes, un objet dans la main, quasiment en train de sangloter d'émotion que quelque colon fraçais le lui ai remeis grand sourire carnassier plaqué sur le visage.

Colonialisme spendide avec le gentit petit bougnoule soulis ému que son maître français le recnnaisse dans la grandeur de sa misérable négation de soi.

Un intellectuel, un artiste, normalement constitué devrait au contraire s'éloigner des prix empoisonnés qui lui sont donnés de son vivant, pour au contraire bâtir jour après jour une oeuvre qui fera que l'on parlera de lui avec respect de son vivant et après sa mort.

Tous les "nôtres" aujourd'hui font tout le contraire et reprennent ce rapport nauséabond du petit harki face au mâitre qu'il s'est choisi parce que ce maître ne gratifie que le bougnoule, le nègre, l'asiate (ce sont là les mots péjoratifs que la langue française applique à ceux qu'elle désigne une fois réduits à leur misérable caricature).

Ni dans le cinema, ni dans le theâtre, ni dans la musique, ni dans l'écriture la Tunisie n'est aujourd'hui une sommité dans la culture d'un pays arabe qui se respecte. La langue arabe y est détruite, la femme, l'homme y sont réduits de la violence, pourvu que la France applaudisse.

J'en dirais d emême pour ce honteux prix nobel.

Libres, nous ne devrions attendre aucun prix qui nous soit offert par un pays nn arabe ou non-musulman. C'est entre soi que le véritable art se reconnaît. Mais justement dans cet entre soi que de silence. Car que de médiocrité et quelle médiocrité recevrait un qualconque prix chez ceux qui n'y voit que de la médiocrité ?

Ce silence est résistance.

Hassine Hamza  (Tunisia)  |Mardi 31 Janvier 2017 à 22:16           
الجوائز الفرنكوفونية تموت على اﻹنتاج "الثقافي"التونسي
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هكذا الدّعْم وإلّا بَلَاشْ


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