Le président du gouvernement accorde un délai de 48h au ministre de la terreur Lotfi Brahim pour arrêter le ex-ministre de la terreur Najem Gharsalli. Quelle belle comédie et quelle poudre aux yeux. Je l’ai dit dans mon commentaire il y a quelques jours : Le président du gouvernement mastique encore une loubana (la lutte contre la corruption) qui commence à devenir amère et collante dans la bouche. Ce n’est que de la grande comédie, épisode 2
depuis l’arrestation de Chafik Jerraya. Qu’est- ce qu’il a fait contre les gros Escobars Kamel Eltaif, Elloumi et les 301 voleurs ? Aujourd’hui, nous apprenons que la justice a ordonné Hbib Ammar à la prison pour des détails de débiles mentaux. Ce Hbib Ammar
va s’éclater de rires, puisqu’il a été reçu solonellement par son ancien patron au ministère de la terreur au palais de Carthage. J’insiste sur ce point, car la contre-révolution et ses représentants officiels et clandestins sont plus machiavélistes que Machiavel. La fin justifie les moyens. Hbib Ammar se sacrifie pour une infiniment petite cause pour que le tout soit à ses aspirations. Je me rappelle en 1986, ses deux enfants étaient des
étudiants à l’université Laval comme des petits enfants maman. À la suite du coup d’État mené par Ben Ali et Ammar en 87, ils sont rentrés en Tunisie et devenir des hommes d’affaires, sans avoir terminer leurs études. L’honnorable général El kheriji à la retraite sait de quoi je parle.
Ce n’est que de la comédie pure et simple lorsqu’il critique le fils Essebssi. Il n’est pas franc et sincère. La preuve, la lettre qu’il a envoyée à l’IVD pour
terminer sa mission fin mai, sachant qu’il sait très bien que le vote à l’Assemblée est nul et non avenu. Sachant aussi qu’il est allé en Europe pour gargariser le vote illégitime contre l’IVD.
Je suis sûr et certain que Youcef souhaite laisser la présidence du gouvernement pour qu’il nous revienne en candidat présidentiel providentiel en 2019. Ce n’est que de la comédie qu’il joue avec Essebsi fils. Sur ce point, il faut comprendre et saisir la perspicacité du Sheikh Ghannouchi qui comprend très bien cette comédie et cherche à le garder à sa place.
Enfin, il ne faut pas oublier comment il a dansé et chanté des mots très bas, vulgaires et très irrespectueux à l’égard de la mère de l’Ex- président Moncef Marzouki, lors des élections de 2014.
En bref, c’est un oueld nanati qu’il se prend et qu’il pense qu’on le prendra pour un patriotique qui pense à l’intérêt supérieur de la Tunisie.
Il doit rester comme président du gouvernement pour évaluer sa performance et celle de son parti, lequel parti impose des présidents de gouvernements et les saute en tout temps pour leurs incompétences, comme l’a affirmé Fadhel ben Omrane, un nidaïste plus nidaïste que Essebsi père et fils, que Mohsen Marzouk parallèle et petit espion Lazhar Akremi, etc, etc. Ceux qui désignent des incompétents sont plus incompétents que les incompétents,
sachant
que Nidai avait des compétents pour gouverner et gérer quatre gouvernements : Le gouvernement officiel, le gouvernement officieux, le gouvernement parallèle et surtout le gouvernement sous-terrain ou profond. Il faut rire en critiquant.