Keyser3050 (France) |Samedi 08 Juin 2019 à 10h 38m |
L’arbitre doit être maître de la situation, c’est à lui d’arrêter le match et personne d’autres. Il doit arrêter le match du moment où il sent que les conditions de sécurités ne sont plus remplies. Chose qui n’a pas été faite. La présence du président de la CAF sur le terrain n’a aucun sens, il en est de même pour tout responsable des deux équipes. Que justice soit faite, la FIFA ne va pas regarder l’unanimité des membres de la CAF dans leur
décisions. Il y a un ordre et des lois à respecter. L’arbitre et les différents membres de contrôle du match n’ont pas pris la décision de l’arrêter sous prétexte de manques de sécurité, et les forces de l’ordre étaient présentes pour les protéger à tout moment !!! Quand on prend l’avion, on ne prend pas la place des pilotes !!! De même, dans le cas où le var tombe en panne au milieu du match, y a-t-il droit à l’arbitre de l’arrêter? Y-a-t-il
droit aux joueurs d’arrêter le jeu et de ne pas répondre à l'ordre de reprise donné par l'arbitre, ou de quitter le terrain et se mettre au bord des touches? Trouvez- vous normal que le président de la CAF, après une heure et demi d’attente et de réflexion, ordonne et assiste l’attribution de la coupe et des médailles de félicitations aux joueurs et aux arbitres devant 80 000 spectateurs et qui finira par l’annuler 5 jours plus tard sous
prétexte d’absence de sécurité??? Je m’excuse de dire que leur rapport à l’unanimité ne tient pas débout, et ne peut mettre en évidence que l’excès de pouvoir des responsables marocains sur les décisions de la CAF. Ce que nous vivons est une dictatoriale imposée.
J’ai beaucoup d’estimes au peuple marocain, mais comme on dit le sol riche produit aussi des mauvaises herbes. Les dirigeants du WAC, dominés par l’amour de leurs sois, nous ont gâché la fête en refusant de jouer tout en quittant le terrain à 40 mn de la fin sous prétexte d’une injustice d’arbitrage ! Les joueurs marocains ont dans leurs pieds de quoi renverser la situation, gagner le trophée, et surtout obtenir la reconnaissance de tous les
tunisiens. La prépotence aveugle des responsables de leur club les a privés d’un tel honneur. Ce sont des choses qui sont probantes par elles-mêmes. Nous avons perdu l’esprit sportif et l’art de jouer pour se distraire, se connaitre, et se faire des amis.
Enfin, on peut dire, dans l’absence de raison et de législation bien fondée, l’unanimité n’est pas la meilleure forteresse et, tout ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve.
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