Les émiratis ont réussi un bon coup : détourner l’opinion publique turque, tunisienne, arabe et mondiale de ce qui se passe en Palestine à la suite de la décision de Trump de reconnaitre Al Quods capitale d’Israël. En effet, la sortie sordide du ministre des affaires étrangères émirati contre Fakhr eddine Pacha et ensuite l’interdiction aux tunisiennes .
La troisième Intifadha a déjà un bilan lourd et croissant : 20 martyrs, 750 bléssés, répression de la marche de Noël par les forces de l’occupation à Bethléem aujourd’hui 24 décembre. La décision de TRump, ce bilan de victimes et cette flamme grandissante ne doivent pas faire les manchettes Voilà ce que les émiratis voulaient avoir comme effet, c’est-à-dire orienter l’opinion vers des questions secondaires. Dieu sait combien nous avons de leurs
femmes et hommes de service en Tunisie. Mohsen Marzouk. Maya Ksouri, Borhane Bsaiss, yassine Nannaha kbira etc etc.
Il ne faut pas tomber dans le piège de la manipulation des masses

Quand la souveraineté se déclare absente, l'état tombe.

Mandhouj (France) |Dimanche 24 Decembre 2017 à 16h 37m |
Nous sommes devant une affaire de discrimination par la nationalité de la part d'un état vis à vis des citoyennes d'un autre état et avec tout age confondu, donc nous sommes devant un génocide moral total et global... Il faut aller devant l'ONU et devant tous les tribunaux nationaux et internationaux, sans oublier le conseil international des droits de l'homme en Suisse.

à défaut, l'état tunisien sera considérai comme inexistant et ses institutions comme caduques... ni institutions politiques ni constitution.. La Tunisie vit aujourd'hui un vide constitutionnel.. alors il que le peuple aille à une constituante pour bâtir un nouveau état et des nouvelles institutions politiques.

Accepter la discrimination générale à toutes les femmes d'un pays c'est déclarer que l'esclavage existe... Le traité de 1851 a abolie l'esclavage en Tunisie, l'actuel état d'une manière indirecte l'accepte pour sa population féminine.. Donc le peuple est en droit de déclarer la fin de cet état, et doit aller à une constituante. BASTA, il ne faut pas aller par quatre chemins.