Tout dépend de son état psychologique et de son attachement aux vrais valeurs de l'humanité.
Il n'est pas question de fonction ou d'une catégorie quelconque !
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Salut ,LeChef
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D’accord avec vous sur toute la ligne sauf que ,
Le citoyen ordinaire que je suis n’arrive pas à comprendre
Pourquoi l’État traite différemment
Le Professeur , en quelque matière que ce soit
et Le Docteur en Médecine
Tout les deux ont profité de l’Enseignement publique financé par les deniers du citoyen
depuis l’Ecole Primaire jusqu’à l’Université
….
Ceci étant , pourquoi les instituteurs et les professeurs sont obligés d’exercer leurs métiers là ou l’État leur demande de le faire
et PAS les médecins ???
Ce qui est vrai pour les Profs est aussi vrai pour les agents de l’Ordre public , les Militaires …
Ce qui est vrai pour les Médecins l’est aussi pour les Ingénieurs ...
….

...malgré les quelques incidents qui surgissent de temps à autre et qui restent dans des marges acceptables à l'échelle internationale.
Il faut noter aussi, qu'un certain taux non négligeable est indépendant de la volonté des médecins.
Enfin, pour les comportements et les éventuels complexes qui peuvent entacher les docteurs, ceci peut affecter l'être humain sans distinction d'âge, de couleur de la peau, de son sexe, de son état matériel,....
Tout dépend de son état psychologique et de son attachement aux vrais valeurs de l'humanité.
Il n'est pas question de fonction ou d'une catégorie quelconque !
Tout dépend de ta cervelle , enfin !

Certains essaient de faire dévier les discussions tout en oubliant le sujet le plus important : Comment instaurer une politique médicale équitable dans toutes les régions de la Tunisie ?
Car, si on essaie d'analyser les comportements des '' médecins '' sans nous occuper de tout le corps médical, son organisation , les structures dans lesquelles évoluent ces médecins, on ne va s'en sortir.
En effet, critiquer un métier '' dans notre cas la médecine '' est une perte de temps qui n'aura aucun effet positif sur le problème posé.
D'ailleurs, deux points m'attirent dans ce contexte :
1 - L'utilisation de la langue française '' fonctionnelle dans les métiers '' suite aux difficultés de trouver les mots techniques exacts en arabe.Donc, ce qu'on doit discuter comment guérir un patient, quel protocole choisir, comment arriver à un bon résultat dans les meilleurs délais , avec le minimum de coût et avant un temps de séjour le plus bas à l'hôpital ?
Comment optimiser tous ces facteurs ? En arabe, en français , en anglais , ceci importe très peu . Nous ne sommes pas en concours de langues. Nous sommes devant un fait technique . Dans ce cas , vu les urgences parfois et les rapidités d'intervention nécessaires, la langue se classera en second lieu.
Secondo : pour une majorité de médecins qui viennent de l'intérieur !!!! Dans ce contexte, je précise que le savoir et l'assimilation de connaissance ne tient pas compte des situations géographiques de l'être humain. Au contraire, tout dépend de son cerveau, des ses sillons cérébraux et de leurs profondeurs et aussi du sérieux de l'individu. L'interprétation plausible de ce nombre important - si les statistiques avancées sont bonnes - ne
pourrait être expliquée que par ces conditions.
Donc, pour celui qui doute, il n'a qu'à passer au test pratique , c'est simple, mesurer les profondeurs de tes sillons cérébraux et interpréter.
Si tu arrives à le faire, c'est bon tu es intelligent et tu trouveras des profons sillons.
Sinon, les résultats sont ce qu'ils sont .
ça ne va rien changer ! La médecine avance dans les règles de l'art malgré l

Je conseille Ziad de porter plainte contre Mme la ministre et s'il le faut contre Mr le chef du gouvernement, aussi . Tes critiques sont insensées et ne servent à rien .