Pour moi l'important est que la société évite le putsch des technocrates acquis aux exigences de l'FMI et de la banque mondiale, sur la démocratie et l'état lui même. La dépolitisation de la chose publique est une régression et non une porte de sortie de la crise. La Tunisie vu plusieurs éléments, le dégoût et le désespoir qui animent la conscience et la psychologie des nombreux citoyens, pourra être proie facile et via les urnes, avec une
faible participation, à des dits indepandants. Et en finale, ce ne sera que une sorte d'armée de réserve de l'FMI et de la banque mondiale. Quand l' FMI et les lobbies de la finance mondiale, deviennent, par leur force de financement et d'influence, électeurs, la société deviendra plus plus pauvre.

La politique ne pu pas, la politique c'est l'essence même de la vie sociale dans une société qui avance.