Sacré Jalloul, la prochaine rentrée sera le 1er septembre 2017...exactement le jour du Aid-el-kebir

J'ai voulu dire à notre mufti Kamelwww d'arrêter ses banalités et de valser sur les aires de la révolution. le 17 Décembre que nous respectons tous coïncide avec un Samedi donc pas d'école, par la suite pas de planning. Sinon on demanderait au ministère de publier un planning des Samedi-Dimanche sans école... du n'importe quoi...

Ce monsieur nous engouffre chaque 15 jours dans une affaire superficielle qui relève des services administratifs et s'occupe du badigeonnage des écoles, de la collecte d'argent. Il ne cesse de temps en temps à mettre les parents d'élèves contre les enseignant et est tout le temps accroche à son poste radio pour intervenir sur tout et rien. Ce monsieur semble vouloir tout faire sauf la réforme de l'enseignement. Il n'en a jamais parlé et on
ne sait point où va l'enseignement public qui a tendance à descendre en chute libre.

C'est lamentable que le ministre gère avec des rattrapages, il a un service technique qui ne devrait pas laisser le moindre oubli, il devrait recruter un surveillant général d'un bon lycée et tout ira bien. Je pense que ce monsieur intervient trop et ses subordonnés le laissent glisser pour montrer qu'il est vide et qu'il n'a que du bla bla bla.
Question sérieuse, en quel honneur le nouvel an administratif mérite 3 jours de congé alors que nos fêtes religieuses sont à l'étroit.

On remarque depuis trente ans, que la problématique (la refondation de l’éducation nationale) en France passe toujours, et signifie pour plusieurs ministres successifs, de l’éducation, la question des heures de l'école, les jours étudiés dans la semaine... une question technique quoi ! En Tunisie, apparemment, nous avons suivi la même ligne. Dans l'absolu, ça allège le temps de travail pour l'enfant, ça donne plus du temps aux profs pour
faire un travail en dehors des heures de classe, préparation pédagogique, ... mais la question du contenu, donc fondamentale, reste toujours posée.

Dans l’absence d’une réelle réflexion sur l’avenir de l’école dans notre société, sur la place et le rôle de l’école dans la société et dans le contrat social, notre école restera, comme elle l’est aujourd’hui, en marge des grandes occupations du politique qui gouverne.