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Crise, faillite annoncée ou pas annoncée, le cas Grec qui honte tout le monde … !!!
Pour ma part, la Tunisie a tous les atouts pour ne pas sombrer :
- Adhésion complète et parfaite aux objectifs de la révolution et à ses processus.
- Comprendre une fois pour toute que le pluralisme est un acquis non discutable et finir avec la culture de l’exclusion des autres (des différents). Donc une nécessité de travailler ensemble, sur les bases des objectifs de la révolution.
- Du moment où les partis politiques n'ont pas compris les objectifs de la révolution en les adoptant, aucun projet politique ne pourra porter la Tunisie vers le haut. Liberté, dignité, travail et démocratie, ça devrait être le nouveau plat tunisien pour tous.. Dans le cas contraire, on va continuer à assister à une animation politique (des semblants de reformes, des bonnes intentions, …).
- Finaliser le processus constitutionnel (instances, tribunal constitutionnel, la loi de la décentralisation, les élections locales et territoriales en somme) ; et là nous aurons un état fort par ses institutions et processus finalisés, Avec un ensemble de contres pouvoir qui vont garantir la transparence et l’efficacité de l’action publique.
- Finalisation du processus justice transitionnelle/réconciliation. Et là nous aurons Un environnement apaisé et qui va donner envie d’investir et de faire partie prenante de cette nouvelle Tunisie, démocratique, travailleuse, de justice sociale et de droits de l’Homme.
Sans ces finalisations, la crise du pouvoir qui frappe le pays, va continuer.

Urgemment, les partis politique sont invités de changer leurs logiciels de penser.

Sans ce passage, à réfléchir autrement, à accepter le pluralisme définitivement, donc consolider la démocratie, la transparence, finir avec les tiraillements politique haineux, finaliser les processus constitutionnel et justice transitionnelle/réconciliation, la faillite n’est pas en face, mais nous y sommes déjà.

Toutefois, par chance une fois ce passage accompli, des solutions pragmatiques peuvent facilement entrer en jeu et limiter les dégâts, rétablir la productivité, et des reformes de fond seront engagées.

Il n'est pas demandé d'être expert ppur s'en apercevoir et il n'est pas nécessairede maitruser les chiffres ppur ariver à ce diagnostic. En fait là situation vécue laisse prévoir un danger imminent et ceci depuis bien longtemps. Pourquoi ne pas agir rapidement et tenir compte des solutions proposées si elles existent réellement -bien sûr - pour pallier ces difficultés. ? This is the question! !!!! Il faut aussi noter que Mekki est membre de l'assemblée nationale et aussi fait partie du plus grand parti partenaire dans le gouvernement. Donc s'il occupe des responsabilités aussi importantes et ne réagit pas positivement au sein de ses structures pour forcer les choses à s'améliorer et à un développement durable, qu'est -ce su'on dit alors d'un citoyen normal qui ''la haw la wa la goueta il la billeh"

C'est une déclaration irresponsable.meme si ce senario n'est pas impossible en Tunisie,un homme politique doit toujours tenir un discours optimiste pour ne pas créer la peur voire la panique chez les tunisiens,dans le secteur des banques et chez les investisseurs.