...suite.Le maintien de la masse salariale - exorbitante et inquiétante causée aussi par les gouvernements successifs et précédents qui a engendré une hémorragie de dépenses insupportable par l'état tunisien- est aussi possible tout en essayant d'optimiser toutes les demandes sur la base :
Qu'un manque à gagner d'une entreprise ou d'un homme d'affaire n'aurait pas des effects négatifs sur la société,
Mais bloquer les augmentations salariales des années 2017 et 2018 avec la cherté de la vie et des écarts très importants entre des salaires de qq milliers de dinars et le smig dérisoire de 350 dt impacte négativement le caractère vital de l'individu.
Il faut remarquer aussi, que les salaires ( dits des hauts salaires) sont aussi en réalité faibles vus les besoins de leurs détenteurs et les exigences spécifiques de leurs postes, mais tout est proportionnel.
Devant, un manque de liquidité, il faut sauver ce qu'on peut et pourquoi donc réduire les hauts salaires et augmenter les faibles salaires avec la possibilité de dégager des montants suffisantes pour la création de l'emploi.
Pour une justice sociale, tout est question de la bonne répartition de la masse salariale.
La majorité des salariés se trouvent avec une 13ème, 14 ème .voire 17ème mois servis et d'autres souffrent d'un manque des besoins le plus élémentaires.
C'est là, où le jeu peut se jouer par le dialogue et par une conscience générale de tout un peuple , de l'UGTT notamment et de l'UTICA, des associations,...
Bref, c'est par le dialogue que nous pouvons bien avancer.
L'ère est au travail dure et au sérieux et persévérance.
Rien ne vaut un travail efficace en attendant de résoudre ces tas de problèmes.
En partie, ces problèmes s'anéantissent par l'augmentation de l'effort permanent et non interrompu, la valeur du travail et la productivité.

Il est certain , comme toute structure l'UGTT peut commettre des erreurs d'appréciation qui se corrigeront très rapidement , mais il il est important de signaler qu'il est aussi qu'il contribue à la prospérité d'une société et à un équilibre régional et humain.
Il est impossible d'imaginer un pays qui enregistre des bons taux de croissance sans l'apport imllimité et naturel des syndicats. Il est aussi impossible d'enregistrer des bonnes productivités au sein des entreprises sans l'apport des syndicats de base.
Donc, sur ce plan , sauf les non expérimentés ont des idées absolument fausses sur ces structures tout en rappelant que les syndicats de bases et l'UGTT pourraient passer par des moments de flottement et des positions incorrectes.
C'est grâce à l'UGTT que les gouvernants seraient obligés de gérer convenablement les deniers publics et instaurent une justice sociale avec le minimum d'erreurs. C'est grâce à l'UGTT que l'indépendance du pays est renforcée et par conséquent garanti. Donc, toute la population, y compris le pouvoir public auront fortement besoins de l'UGTT. Si c'est une structure qui ne représente aucun effet et sans aucun avantages, les gouvernements
auraient facilement s'en passer.
Un pays solide financièrement, économiquement et socialement est un pays qui à des syndicats puissants et l'inverse est aussi vrai.
A mon avis, nous devons tous lutter ( gouvernants et gouvernants - cadres et ouvriers) pour le renforcement de l'UGTT et par suite de ses syndicats de base pour des entreprises puissantes et par conséquent pour un pays prospère.
Tous les malentendus peuvent être résolus par le dialogue et l'émission des points de vue.
L'actuelle polémique des augmentations salariales que le gouvernement - suite à des très mauvaises résolutions des gouvernements précédents qui nous ont immergé dans cette situation socio-économique aberrante et alarmante- a l'intention de bloquer pourrait être résolue grâce à la compétence des experts de l'UGTT qui ont des points vues respectables.
Le maintien de la masse salariale - exorbitante et inquiétante à cause aussi

L'UGTT ne mesure pas à quel point la Tunisie est fragile.son discours est destructeur .