Allons-nous voir le psychopathe d'ambassadeur de france venir nous la jouer protecteur en prenant fait et cause pour une blasphématrice en notre pays ? car cet obscure se croit toujours en colonie française chez nous.

C'est bien peu pour quelqu'un qui cherche à se la jouer Tasleema Nasreen bis, auréolée de gloire par la presse occidentale.

Quel était l'intérêt de cette jeune femme autrement à poster des images ou des textes moqueurs envers une religion qui est celle de millions de personnes à travers le monde ? Leur montrer son mépris ? Il n'y a rien qu'à voir son prt de tête, sa poitrine gonflée en avant, son regard porté au loin pour comprendre à quel point elle porte haut à ses propres yeux sa propre image. C'est une forme de folie en somme.

Il ne faut pas laisser passer ces insultes chez nous. je les ai vue ravager le monde européen depuis les années 70 quand c'était des cinéastes qui salissaient l'image de Jésus et de sa mère Marie et quand evant la colère des chrétiens le mur de la soit-disant "liberté d'expression" leur était imposée telle une guillottine : le cinema avait le droit d'insulter ce qui leur était sacré, donc de les insulter eux-mêms dans leur être, mais eux
n'avaient pas le droit de montrer leur colère car cette colère était une entrave à la liberté de parole du voyou d'en face, glorifié parce que faisant de l'art.

Ne laissons pas faire chez nous ce qui a ravagé les autres dans leurs pays. Le mal est le même. "Liberté d'expression" ne veut rien dire d'autre que liberté d'insulter l'autre, d'insulter le sacré des autres, et surtout d'y avoir le droit sans devoir recevoir les éclaboussures de la colère des insultés.

En occident les mots ont leurs sens inversés, depuis 68.

Si notre exil doit servir à quelque choses c'est dans ce sens qu'il doit agir : ne laissons pas la gangrène s'installer chez nous.

Chacun a le droit de croire ou de ne pas croire, et libre cours à celui qui se sent en droit de prendre les croyants pour des "attardés", mais cela ne doit en aucun cas lui laisser libre cours à l'insulte. Ou alors il faudra trouver normal que quiconque vienne à avoir le droit de rire du nain, du diforme, du bègue, de l'aveugle qui se cogne au réverbère dans la rue parce que, au lieu de l'aider, les gens s'octroient le droit de prendre son
désarroi comme motif de risée.

Accepter l'insulte du sacré c'est un premier pas vers la décadence que personnellement j'ai vue s'installer dans la société française depuis les années 70, décadence que d'aucuns vont camoufler derrière certains pseudo acquis technologiques qui en fait se sont révélés toxiques pour la santé physique de ces mêmes européens.

Je le répète 6 mois c'est trop trop peu.