Suite.

L'économie du marché de nature est de sens ne permet pas l'intervention de l'état.

Reste aux multiples organisations patronales, de réfléchir des mécanismes non discriminants pour encourager les jeunes investisseurs. C'est une logique capitaliste, pour promouvoir et encourager les jeunes à faire grandir le corps patronal .

Des mécanismes non discriminants, c'est aussi ne pas favoriser que des proches, par la famille, par le territoire, par le secteur d'activité,... Quand on parle des mécanismes, ce n'est pas que dans une seule et unique ligne. Ça pourrait être l'aide dans la constitution des dossiers, d'aide dans la connaissance des juridictions qui régissent le secteur d'activité, des lignes d'accompagnement dans les premiers pas de l'installation et
du développement, des liens avec des banques fiable dans le financement, une maison d'assurance qui pourrait intervenir en cas de faillite pour une raison ou une autre, ou pour des raisons définies à l'avance, exemple une crise économique dans le secteur, une guerre quelconque dans le pays ou dans les pays où existent les marchés d'exportation, catastrophe naturelle,... Tout ça c'est possible d'étudier, si il y a le sérieux, et une ambition
patronale collective avec vision éclairée pour le développement économique et commercial. Ça va combattre le chômage, produire du progrès, et alimenter les caisses de l'état. Ça marchera bien si il y a un ensemble des mécanismes de transparence et de contrôle. Afin aussi d'éviter l'invasion et l'évasion fiscale.

L'état par sa logique d'existence est responsable de la justice sociale et des égalités des chances. Ok, éduquer loger soigner, mais aussi ouvrir les horizons, et permettre de fabriquer des ailes pour pouvoir voler de ses propres moyens et acquis.. le capital economique Commun n'est pas que le service public où tout le monde est fonctionnaire dans une administration ou une entreprise publique. Nous sommes dans une époque révolue, d'économie
de marché (...). Alors l'état pourra réfléchir à des mécanismes '' interventionistes'' , d'accompagnement, de formation, d'aide à l'entrepraniat, recherche des marchés,... Et là l'état ce n'est pas lui qui fait l'économie, mais il aide à son développement avec des mesures et mécanismes qui poussent l'individu à l'émancipation et à la création de la richesse , et par logique à la participation aux richesses collectives, par les
taxes, les impôts,... Ainsi la lourdeur de la tâche, création d'emplois lutte contre le chômage, sera partagée entre le secteur public et privé via aussi des mécanismes et mesures non traditionnelles qui ont prouvé leur limite pour résoudre le problème du chômage, et de la fuite des cerveaux et de la main d'oeuvre qualifiée qui ne pourra pas d'installer à son compte.

Moi, honnêtement, je pense qu'il y a beaucoup des choses à développer en Tunisie en matière de lien de l'état/de la politique avec l'économie, et en matière d'efforts public/privé. L'important est d'accepter de couper court avec les méthodes ridicules et ''mafieuses'' , pour ne pas insulter tout le monde, de l'ancien temps. Qui honnêtement avec ses logiques de faire et d'agir continue à pourrir la vie à tout le monde, l'état, le
privé, l'individu, la société.

Tarek Mandhouj.

Dans la nature des choses : quand on engage un projet d'une petite entreprise individuelle, on sait déjà le pourquoi, le comment, les délais, les financements, évaluer l'effort qu'il faut accomplir, l'étude du marché,... Nous sommes dans une économie du marché ouvert, ça implique et produit une ambiance particulière, chaleureuse ni conviviale, c'est la nature de l'économie du marché.. la règle c'est concurrence libre et non faussée ; mais
la réalité tout est faussé. Résultat, celui qui néglige un élément, il sortira de la partie. C'est comme ça, il n'y a pas de mystère. La problématique en Tunisie, il faut ajouter la part de la corruption ! Qui est devenue une sorte de sport, corrida à armes non égales ; c'est notre société.

Cependant, le terrain de l'investissement n'est pas tout noir, et il ne sera jamais tout noir ou blanc. L'égalité des chances est un combat multidimensionnelle. Il y a où ça concerne l'état et l'ensemble des pouvoirs publics, et il y a où ça concerne la société.

Suite.