Le dialogue est l'unique chemin pour trouver la bonne équation ‘’sine qua non’’ aux maux de la Tunisie.
Le dialogue et le consensus sont l’inéluctable chemin de sortie, de la crise, des crises
Après le renversement brusque et brutal de la tête d’un régime, on voit venir plutôt des impasses que des solutions. Vu une certaine habilité dans la gestion des conflits, la décente à l’enfer de la Tunisie, au niveau social, économique et sécuritaire était malgré tout limités. Le système mondial n’a pas déclaré la Tunisie un pays non grata, ni en faillite. La Tunisie n’a jamais était lâchée (pour cause, et au même temps c’est une chance inouïe
pour le citoyen lambda.
Après deux ans de gestion des équilibres déséquilibrés ‘’gouvernements de la troïka’’, le dialogue national est venu dire qu’il malgré toutes les difficultés et les désaccords avancer.
Pour avancées, il faut arrêter de gérer des déséquilibres, il faut construire les bases consensuelles de la nouvelle Tunisie,
Une constitution est votée,
Une nouvelle ISIE a vu le jour,
Une loi électorale est votée,
Ok, la vie chère continue, ok, la Tunisie a gagné en sécurité, ok son image est redorée –c’est fragile, on l’admet-.
A quel prix la Tunisie continue à tenir ses engagements (versement des salaires, fonctionnement des caisses sociaux, remboursement de la dette) ? (chacun de nous apportera sa propre réponse).
On remarque que dans tout ce magma à 1000 degré C, les extrêmes perdent du terrain, mais des bases consensuelles se construisent. Contre qui ? Pour qui ? Ma réponse est c’est ni contre un clan, ni dans l’intérêt d’un autre. Je pense que le tout est fait pour que la Tunisie continue à fonctionner d’une manière à faire société dans ce monde des nations.
Les retombées immédiates mêmes si elles sont graves et dangereuses, on ne pourra pas bien les sentir, car c’est à mille degré c que sa fonctionnent les évènements,
Qu’elles seront les retombées tardives ? C’est à nous de se positionner de la sorte pour qu’elles soient positives.
Réunir au plus haut sommet de la décision publique ''au sommet de l'état'' les contradictions parait à courte vue d’œil une corruption au parcours révolutionnaire ''réussite du processus démocratique, objectifs de la révolution''. Après les prochaines élections, la Tunisie malgré qu’elle soit une nation élective, n’échappera pas à la gouvernance, par le consensus.
La Tunisie passe par une période transitoire où vit rêves et aspirations légitimes, contre révolution et terrorisme. Le tout vit sur un seul et même territoire.
Toute mauvaise esquive ou diversion = guerre civile.
Limiter les dégâts est l'unique chemin sûr. Eviter la guerre civile.
Cela n’empêchera pas l'aboutissement d'une justice transitionnelle ''consentie'' qui correspond au cas Tunisie, et où les responsabilités seront clairement identifiées et définies. Cela n’empêchera pas la tenue des élections libres et transparentes. Cela n’empêchera pas d'avancer pas à pas pour que l’état retrouve sa place et que le tunisien ne sera plus otage des forces du mal, terrorisme, contre bande, économie parallèle. Cela
n’empêchera pas un dialogue de fond entre les tunisiens. Cela aidera à bâtir ensemble une réelle réconciliation nationale.
Il faut qu'on arrête d’être dans les émotions.
- ben Ali harab est une réalité,
- une nouvelle constitution est une réalité,
- une loi électorale est une réalité,
- les extrêmes sont en perte de vitesse est une réalité,
- un putsch qui a échoué est une réalité,
- une ISIE a vu le jour, et elle essaie de fonctionner,
- l’Anc demeure le plus haut pouvoir en cette période de transition est une réalité,
- un dialogue national qui aide à arrondir les contours et les choses avancent, certes doucement, c’est une réalité,
- le peuple est d'avantage conscient de la problématique de la dette, c’est une réalité, ... vu le recul des extrêmes, front populaire,…

Il reste une prise de conscience collective. Cela se travaille doucement doucement.
Osons le défi du vivre ensemble mieux et bien.
Résistons. Et ‘oublions jamais la justice transitionnelle, c’est une exigence historique.
Ben Ali harab
Mandhouj Tarek.

Ce catastrophe de amdouni est ivrogne ...24h /24h ...

Ce amdouni se prend pour un homme politique alors qu' en réalité il est d'une rare nulleté et ce sur tous les plans.
dans les grandes democraties , personne ne demande a un president de demissionner avant les elections.
on a vu ça seulement avec une categorie de miserables sur le plan intellectuel et psychique en Tunisie.

Amdouni et tout le front de ses nuls crétins et surtout anciens serveurs et boniches des trabelsias ne peuvent dire que des âneries
avec l'aide de nidaa essourrak qui a lapidé le pays ils parlent de démocratie ils parlent de transparence
tfouh alihom et au hmar qui les croient