100 jours après, où sommes-nous?

Je pense qu'il faut continuer à être positivement vigilant , à pousser le gouvernement de s'occuper un peu plus des catégories en grande précarité, que nos hommes d'affaires soient plus participatifs (création des nouveaux projets, payer les impôts).
l'état a besoin de plus de recette,
tenir bon pour des élections libres, transparentes afin que notre démocratie gagne en crédibilité,
le tunisien doit reprendre confiance et il doit travailler plus sur les éléments de sa faiblesse et qui le divisent.
il ne faut jamais oublier la justice transitionnelle, c'est une exigence historique et la Tunisie ne pourra pas échapper. la justice transitionnelle est la base même de notre réconciliation nationale, de notre nouveau modèle de développement qui mettra fin à la marginalisation des certains régions, et surtout elle sera l’élément fondateur de la nouvelle Tunisie, avec une solide cohésion , solide paix sociale et une démocratie confortable
républicaine et forte.
ben Ali harab
Mandhouj Tarek