Monsieur honte a vous tu ne merite pas d etre tunisien rappelle toi avec ta television en angleterre ton amitie profonde avec tous les regimes etc.... maintenant tu est le champion et defenseur de tous les extremistes tu cherche par tous les moyens d etre interessant tu es un charlatan la majorite des tunisiens ne t aiment pas tu es un malade

Au niveau du dialogue national: Je pense qu'il faut arrêter de parler ''céder le pouvoir'', ou de faire dégager le gouvernement.
Une fois l’actuel gouvernement démissionnera, (pour permettre plus d’adhésion des partis politiques au processus de la transition, gagner en paix sociale)
Il y aura juste une délégation de gestion des affaires courantes et la préparation et l'organisation des élections.
Le pouvoir demeurera entre les mains de l'ANC, et la présidence de la république.
On est en période de transition,
Si les élus du peuple Cèdent le pouvoir, il ne restera plus rien à la transition, ni juridiquement ni politiquement, ni moralement, l'histoire de la révolution s'arrête et toutes les options seront ouvertes.
Donc si la troïka cède le pouvoir, elle commettra un crime historique, (politique et moral).
Et le peuple sera en légitimité de sortir défendre sa révolution.
Le destin de notre peuple et de sa révolution n'est pas lié au destin que les partis de la troïka choisissent pour eux mêmes. S’ils veulent s’éloigner de la gestion politique de l’état pour laquelle le peuple les a élus, ils sont libres (…).
Par moment de faiblesse des partis politiques, ou peut-être de peur, ou de calcul politique, les représentants à l'ANC ont le devoir de démissionner de leurs partis et de prendre les choses en mains. Et ils sont légitimes pour toute décision. Les institutions civiles, militaire et de sécurité sont sous la tutelle de l’Anc. C'est le sens de la transition.
Ben Ali harab.
Mandhouj Tarek.

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