La France pays de droit de l'homme interdit fermement aux forces de l'ordre de se manifester ou va notre pays???? et de quelle dima krassi parlez-vous ? je suis dans un bonheur insupportable dit notre frére ignorant.

Il faut frapper fort
la justice doit trancher pour ce complot contre les élus du peuple

On a dit dégage à l'ancien président et rien ne s'est passé.

Enfin un peu de justice contre ces bourreaux de Leila au sein du MI. Le peuple Tunisien sait que 90% des securitaire au sein du MI sont cleans, sont des Tunisiens comme tout les Tunisiens et sont nos freres et soeurs. Mais on sait aussi que dans les 10% restants il y a des policiers qui sont toujours et encore pro-ben ali et pro-leila et il y en a ceux qui suivent des agendas comme celle de Ltayef et co. et on a vu ca dans l'affaire de ltayef.
Et ces cette minorite la du MI qui doit etre mise de cote pour son bien a elle et le bien de la Tunisie.
Ils ont tous vu dans l'affaire de ltayef comment ce mafieux a faillit tuer leur collegue ... et ils doivent savoir que c'est comme ca qu'ils seront traite si ltayef et sa mafia reussissent a revenir au pouvoir. Ils ne seront que des pions ... pas des humains. Alors reveillez vos nos amis aux MI, on veut un pays democratique ou tout citoyen a sa dignite, y compris le policier.

L'armée, la police, la protection civile et la douane sont des corps militaires (conformes aux exigences de l'armée) armés qui assurent la sécurité dans le pays. Ils sont structurés, hiérarchisés et commandés par ordres des dirigeants, selon les circonstances. La discipline est donc le maître-mot qui assure le maintien du système. Ces corps possèdent des moyens de transport spéciaux et peuvent faire usage de différents moyens de répression,
dans des cas, pour assurer la paix sociale. Cette définition peut sembler gauche pour certains, mais j'en retiens :
- corps militaire ;
- hiérarchisation ;
- structure ;
- ordre ;
-discipline ;
- arme ;
- moyens spéciaux.
Par contre, le syndicat prévoit :
- des revendications de toutes sortes
- la luttes contre le patronat ;
- le droit de grève.
Dans un pays sous développé, comme la Tunisie, qui est encore loin d’être un pays démocratique par le niveau de ses indicateurs de développement humain (idh), il est hors de question de permettre à ces corps de s’affilier aux syndicats. Leurs missions sont tout à fait incompatibles avec les contestations ; elles tirent leur essence de la discipline et elles sont basées sur l'ordre et la réaction à l'ordre, c'est-à-dire exécution immédiate et
obéissance, avec un garde-à-vous, s'il le faut.

Avant le 14 janvier 2011, la police, pour ne pas dire tous les agents du MI, formaient une corporation (dans le sens anglais du mot) ; ses membres passaient au dessus des citoyens, comme des supermen. Leur coalition indéfectible était la botte de zaba pour écraser le peuple. Si les agents de police ont avalé la couleuvre avec béji caid sebsi, Chef du Gouvernement précédent, qui a qualifiés certains d'entre eux de "grouda", voilà comment ils
réagissent face à trois Présidents, lors de funérailles. Il faut leur rappeler les limites de la liberté et des obligations professionnelles.

Appel au Président de la République

Moi, Citoyen tunisien, je n’ai confiance, côté justice, qu’en notre Armée. Et par conséquent, je demande au Président de la République, le Professeur Moncef Marzouki, de bien vouloir confier le DOSSIER KAMEL LTAIEF à la Justice Militaire.