Notre désastre national Ghanouchi a créé et financé les salafistes pour faire sombrer le pays dans la violence et servir contre l'intérêt national. Ils agissent et réagissent sans s’inquiéter. Ils diffusent la terreur et confisquent les libertés.
Qui a permis le retour en masse des terroristes tunisiens ? Qui les a laissé ces "microbes" proliférer et violenter la population locale ? Qui les a appelés ses "enfants", en qui il retrouvait sa jeunesse ? Qui les a encouragés à commettre les pires vilénies impunément ?
Le seul responsable, c'est lui. Le représentant du diable sur terre. L'homme au passé critiquable et répréhensible. Celui qui n'a dû sa fuite du pays qu'en échange de la trahison des siens. Lui et sa bande de vautours affamés qui ont fait main-basse sur la Tunisie, et qui tiennent son peuple en otage, sous le prétexte d'une légitimité achetée avec l'argent de l'étranger. Une légitimité dont la date de péremption est dépassée depuis
longtemps.

La Tunisie reconnaîtra les siens et écrasera à son tour ceux qui ont désiré lui nuire et y ont très activement participé, les marchands de religion.

Ghannouchi comme tous les adeptes de l'islam politique croit à la violence et au sang comme moyen pour trancher les différents avec ses adversaires. Ils ne sont pour rienpacifiques:la preuve que les islamistes appellent et organisent la guerre en Syrie. Ceci prouve que on doit pass'étonner que ghannouchi et laaryeed comme chefs de file des islamistes et des ikhwan en tunisie pourraient etre les commanditaires des assassinats politiques contre
naqes, chokri et haj mohamed: Celui qui accepte et encourage de tuer un syrien peut le faire aussi pour tuer un tunisien.

- Il faut juste se dire qu'un homme public est toujours attaqué,
- N'empêche, qu'il faut se défendre,
- En Tunisie il n y a pas que des adversaires politiques, il y a aussi des ennemis.
La guerre existentialiste que mène les gauchos modernistes, les réactionnaires de l'ancien régime contre le processus démocratique et contre la révolution, est une preuve éclatante,
- La démocratie gagnera, en final.
Ben Ali harab.
Mandhouj Tarek.