C’est facile d’être lâche et s’acharner sur quelqu’un qu’une machine ignoble a volontairement blessé parce qu’il fait son travail.
Mais cette machine a vite oublié qu’elle a été dans les geôles de Ben Ali parce qu’elle défendait une conception différente.
Ce n’est pas en muselant les journalistes et en imposant une direction pro gouvernementale dans la presse qu’elle arrivera un jour a imposer son hégémonie.
Elle n’a rien compris mémé pas de son histoire personnel ou de ce qui arrivé a Ben Ali.
Ce qui est certain, c’est que Monsieur Ben Farhat est une valeur sure dans le milieu journalistique de renommée mondiale .
Comme tous les journalistes qui se respectent il cherche le scoop et en tant qu’analyste il fait l’effort de regrouper les informations et de faire des pronostiques qui sont souvent de très bon niveau.
On ne peut pas reprocher a un journaliste d’essayer de recueillir des informations qui ne peuvent ne pas être toujours véridiques.
C’est le lot quotidien de tous les journalistes.
Mais quoi que l’on dise, il y’a beaucoup de vrai dans les informations qu’il présente.
Il faut dire aussi qu’il n’a pas froid aux yeux et il est capable d’affronter n’importe quel personnalité que ce soit du pouvoir ou en dehors, quand il a des éléments qui pourraient les compromettre .
Il est vrai qu’il cherche les failles de la Troïka et c’est normal c’est eux qui ont la responsabilité actuellement.
Ce qui déplais aux représentants de la Troïka et les déstabilise au point de perdre leur contrôle pour en fin de compte montrer un visage décevant.
Regardez les débats aux Usa ou même en France entre les candidats présidents et comment la confiance du peuple chute quand l’un des candidats perd son contrôle ou ne sait pas répondre a des questions combien même elles ne sont pas fondés.
C’est vrai que c’est inhabituel en Tunisie qu’un journaliste tiens tète a des responsables d’autant plus qu’il ont des fonctions étatiques qui continuent a se considérer comme les tenons de vérité absolu comme dans l’ère de Ben Ali. Ils ont l’habitude de parler et les subordonnés doivent écouter et appliquer leurs consignes comme si c’était le coran.
Ce sont des habitudes qui doivent disparaitre et il faut absolument argumenter et discuter point par point et s’arrêter sur les points de discorde pour les résoudre.
D’ailleurs ce qui regrettable, c’est qu’il n’ya jamais eu un vrai dialogue constructif dans les plateaux TV . Comme si tous devrait être blanc ou noir.
Les Tunisiens n’ont vu que des monologues de part ou d’autre et jamais un consensus sur un point pour avancer a un autre .Dés que ça deviens critique on souffle dans l’oreillette du présentateur pour couper l’intervention sous n’importe quel prétexte.
Monsieur Sofiéne Ben Farhat est une compétence journalistique de niveau international.
En effet Ennahdha a fustigé le comportement de Monsieur Ben Farhat mais aussi il y’a une vérité amère qu’il faut dévoiler ,c’est qu’il y’a de plus en plus des chaînes Béni oui ,oui qui glorifient Ennahdha et qui pullulent de plus en plus avec un niveau médiocre ainsi qu'on assiste a un phénoméne des nominations partisanes en masse d’incompétents appartenant a Ennahdha a la tête des institutions nationales audio visuelles dans les chaînes
nationales sans précédent . On se demande ou va mener le pays ce partie si ce n'est d'imposer une ligne pro gouvernementale .
Pour un témoignage juste devant dieu et les Tunisiens , j'ai écouté la conversation entre Monsieur Ben Farhat et son directeur plusieurs fois mais je n’est pas entendu un seul mot déplacé ni le moindre manque de respect de Monsieur Ben Farhat vis-à-vis de son directeur bien au contraire j’ai constaté que c’est un directeur qui a pris sa décision sans revenir a la commission d’administration ,il a même dénigré le conseil de rédaction qui a
désapprouvé sa décision personnelle mais certainement sous pression d’Ennahdha .
Par ailleurs, en plus de l’affaire de Mr Ben Farhat ce directeur est un esclavagiste condamnable .Ila conclu un semblant de contrat avec monsieur Ben Farhat de tel façon qu’il peut a tous moment le mettre a la porte quand bon lui semble sans inclure dans ce contrat la moindre garantie a la partie adverse a son droit a un préavis ou une indemnisation en cas d’ expulsion abusive qui est le cas présent sans aucun doute ,
Pourtant ce journaliste n’a fait que son travail.
Il est évident que le directeur a eu des pressions par Ennahdha après la dernière histoire ridicule anecdotique bien connue montée de toute pièces pour tenter d’écarter ce journaliste professionnel .Ce qui fait très mal au cœur et nous rappelle qu’on n’est pas sortie de la dictature de Ben Ali mais qu’on est contrains de constater une dégradation inquiétante a tous les niveaux et qui ne fait pas plaisir et nous fait douter de l’installation de
la pire dictature après notre indépendance .
Ce régime veut nous imposer plus que l’ancien régime des journalistes qui doivent savoir bien lire les romans de leurs directeurs de rédaction dictés directement par le service de l’information d’Ennahdha pour faire briller l’image catastrophique du gouvernement qu’il a imposé aux Tunisiens .
Alors que dans les pays développés les journalistes arrivent a devancer la justice pour découvrir les criminels et la vérité en général. Tous le monde sait qu’il peut y avoir de l’intox mais le citoyen a une tète pour bien analyser et rejeter objectivement telle ou telle information.
On ne peut pas s’acharner contre un journaliste qui pour moi fait son travail en posant les bonnes et les mauvaises questions (les questions tous simplement ) pour essayer d’arriver a une vérité sans y parvenir toujours ses convictions personnelles qui peuvent être vraies ou fausses mais c’est a la partie concerné de donner les arguments justifiant le contraire et c’est comme ça qu’on peut construire une vrai démocratie et non pas en essayant
de museler les bouches de ceux qui sont en droit de donner l’information au publique comme ils l’on vu et/ ou entendu .
En tous cas je suis loin de ton noble métier beaucoup plus loin de tes compétences mais le te souhaite Bon courage Monsieur Ben Farhat ,il y’a beaucoup de Tunisiens de bonnes violenté qui te comprennent et te soutiennent ,ne t’inquiète pas ,aucune tyrannie n’a pu durer. Ce n’est que pour un temps .Ils resterons la honte de l’histoire, la honte de la Tunisie.
Ceux qui essayent de l’imposer a notre peuple ne savent rien de l’histoire et finirons par regretter mais quand le regret ne leur servira a rien.

Soufiane est tres cultive mais malheuresuement il n est pas un journaliste independant et professionnel comme il le pretend ,il defend un parti d extrteme gauche comme il a defendu le regime de Ben Ali . ces contradictions ont fini par lui exploser dans la figure

Voici son article sur la presse :

Par Soufiane BEN FARHAT Les Tunisiens à l’étranger toujours au cœur de la patrie. Les mots sont simples, nobles, touchants. Ce n’est guère un simple slogan politique. Plutôt un credo, une constante fondamentale d’une démarche politique volontariste, sereine, décidée. Le Président Zine El Abidine Ben Ali en a fait un point fondamental de son programme pour le quinquennat en cours. Et ce n’est guère pour étonner. Dès l’avènement du Changement, les
Tunisiens expatriés ont fait l’objet d’une sollicitude particulière. Culturellement, économiquement, socialement. La Tunisie prend en charge ses enfants où qu’ils se trouvent. La mère patrie est aux aguets, sentinelle aux avant-postes de la raison et du cœur, prompte à entourer ses enfants de la sollicitude, de l’intérêt et des attentions requis. Aujourd’hui plus que jamais la Tunisie est, pour ainsi dire, partout. Le monde est un village, les
proximités sont de plus en plus effectives. Les assimilations obligées, uniformisations et exclusions aussi. Dans une réalité mondiale marquée du sceau de la mondialisation effrénée, les identités sont forcément fragilisées, mises à mal, menacées. D’où paradoxalement les périls en la demeure identitaire à l’ère de l’Internet, des chaînes satellitaires et des autoroutes de la communication. La Tunisie n’a de cesse de veiller aux intérêts des
Tunisiens à l’étranger. Il s’agit bien en effet d’une partie intégrante de notre peuple vivant sous d’autres cieux. L’histoire, le hasard et la nécessité en ont voulu ainsi. Des dispositifs stratégiques et circonstanciels sont constamment mis en branle à cet effet. Le Président Zine El Abidine Ben Ali l’a réaffirmé dans son programme électoral 2009-2014. Une réaffirmation qui dépasse la seule profession de foi, puisque porteuse d’une démarche et
de mesures spécifiques. Cela a trait à trois priorités axiales officiant comme autant de pôles d’entraînement. La première porte précisément sur le renforcement des canaux de communication aux plans social et culturel avec les Tunisiens à l’étranger. Cela requiert bien év

Voilà ce qu'écrivait celui qui est présenté comme un héros aujourd'hui
http://www.lapresse.tn/16022013/544/tous-les-tunisiens-au-rendez-vous-dune-grande-ambition.html

Hamza hamza , haineux et arrogant, un spécimen de dirigeant nahdaoui

Trop nerveux ce hamza hamza!

La descente aux enfers. Tellement arrogant qu'il a fini par se casser les dents.

Bulldog >>>>