Une agression délibérée de la part des forces de l'ordre barbares contre des gens qui n'ont rien fait que de vouloir se rassembler pacifiquement pour faire leur congrès et n'ont ni manifesté ni cassé comme faisaient les communistes qui bloquaient les rues et cassaient .pour tirer , ensuite , à balles réelles sur des manifestants qui n'ont comme seules armes que les pierres et en tuer 2 dont l'un d'eux est un immigrant de 27 ans nouvellement
marié (fils unique)qui n'appartient même pas au groupe salafiste, qui est en visite au pays et qui a reçu une balle perdue devant chez lui.encore 2 poids, de mesures même dans l'oppression: devant les casseurs barbares communistes ou toute autre fraction, ils n'utilisaient jamais les balles réelles (interdites dans toutes les vrais démocraties du monde lors des manifestations), alors que le sang des salafistes (même pacifiques) est permis. et
vous constaterez ce-ci lors de la prochaine manifestation des communistes le mercredi prochain.

Bonne rentabilités pour le blesse de la police et bonne courage a notre police et gendarme et militaire allah yhlek les islamiste salafiste

Je contre les salafistes de a à z. Mais je considère que la Tunisie vient de passer un week-end de honte.
- Les complices de l'association femen sont au coeur des groupes qui agissent librement sous couvert de certains médias et même de services de renseignements.
- Ce dimanche avec 700 blessés montre bien l'incapacité de l'état,
- Le ministre de l'intérieur aurait pu travailler en amont sur cet évènement,
- La gestion de la sécurité par les techniciens est coûteuse. La Tunisie a d'autres priorités,
- Il est vrai que la dictature a inculqué une certaine culture à nos troupes dans la gestion des violences urbaines. Cette méthode d'être et de faire met toujours l'état en porte à faux avec la population,
- Franchement, il faut que le ministre de l'intérieur démissionne.
- Le politique doit prendre les choses en mains. Donc c'est aux trois presidences de se rencontrer et de faire un état de lieu des choses qui provoquent l'insécurité, les menaces et de la casse... Et de décider du sort du ministère de l'intérieur. Voilà ça s'appele, honorer sa responsabilité et son devoir politique donné par les urnes. Ben Ali harab.