Les crédits pour les agents économiques est un moteur essentiel de croissance et de prospérité. Sans crédits, je peux affirmer que la création de richesse sera presque zéro.

Le problème c'est quand les crédits sont alloués aux dépenses ou a la consommation: ils créent l'inflation et basculent d'autres indicateurs économiques vers le rouge.

Il n'y a pas un milliard de solutions pour la crise économique en Tunisie: il faut arrêter cette spirale de "s'endetter pour nourrir" et allouer les crédits vers la création réelle de richesse comme les mega infrastructures, le rajeunissement des écoles et hôpitaux, la construction du nouveau port d'Enfidha, l’élargissement du réseau fibre-optiques, etc. C'est ca qui va creer les emplois, permettre aux tunisiens de s'enrichir et surtout
contrôler la maudite inflation.

L'investissement dans les entreprises publiques en voie de faillite est une perte totale car elle sont comme un trou: on injecte de l'argent mais rien ne bouge. Ces entreprises sont à redresser par des décisions courageuses comme la retraite anticipée, la liquidation des actifs désuets, le gel des salaires, etc.

plus que 10 ans dans cette politique de courte vision: a7yini el youm wou o9tolni ghodwa. Le résultat est un échec total. Einstein disait: L'idiot c'est celui qui répète la même expérience dans les mêmes conditions et s'attend à des résultats différents