@ Celtia (France)

celui qui veut continuer à être aveugle et refuse d'aller au fond du problème, qu'il continue. Vous en faites partie. continuez,
bonne route.

Un gouvernement et un chef d'état incompétents sur tout les plans (social, économique, politique, sécuritaire, etc.) Depuis les actes terroristes de Bardo, Sousse, et maintenant de Tunis, ils n'ont rien fait d'efficace pour éradiquer ces groupes obscurantistes et préserver la vie de ses citoyens.Le discours d'Essebsi ne comporte aucune mesure concrète et rassurante .La population veut des résultats concrètes (sans atteinte au droit et à la
dignité humaine) et non des promesses.

@Mandhouj (France)
Arrête de radoter , tu nous donnes mal à la tête. je déteste les gens comme toi qui essaient de trouver des excuses à ces barbares de terroristes.
Il y a eu réconciliation entre le Nida les islamistes d'ennahdha ,ça n'a rien changé.
Les terroristes puisent leur légitimité dans les discours des gens qui n'ont rien compris comme toi.
L’état restera debout et ces microbes de terroristes vont être exterminés comme avant la révolution.

La solution à nos maux ne passera pas par des solutions où se mélange l’émotionnel et irrationnel, ni l’agitation de nos gouvernants.

– insister sur le dialogue national, ça nous amène à des consensus (à des médiations entre les intérêts des groupes influents), et le peuple trouvera sa part (en sécurité, en démocratie, en liberté, en développement) dans ce consensus, dans cette médiation;

– sans être dans le gratuitement contre le chef du gouvernement, contre le président de la république, contre le quartet qui gouverne, il est évident que nous avons évité/épargné au gouvernement l’échéance de 100 jours. J’avais ma propre analyse à la situation en Tunisie et je me suis dit 100 jours ce n’est pas le bon rendez-vous pour juger le gouvernement (vu les énormes défis et nouvelles organisations à mettre en place de l’action publique
dans chaque ministère dans chaque secteur). Par contre un rendez-vous de six mois m’a semblé naturel et évident pour dire la critique, faire l’évaluation. Et c’est depuis juillet que plusieurs d’entre nous s’efforcent à faire, à dire. Par la critique que nous apportons nous ne développons pas le caractère fédératif du contre, non loin de là, tout simplement l’heure est grave, et nous voulons aider à la solution. (Lire la suite).

Nos propositions sont restées sans écoute, sauf pour dire que le quartet est conscient qu’’il faut apporter un remaniement au niveau du gouvernement, ou même changer du gouvernement, mais que l’heure n’est pas venue (discours tenu par le chef du gouvernement lui-même, par plusieurs leadeurs de Nida tounis, d’Ennahdha, d’Afeq tounis, et d’el Watani el hor). Pour moi cette position du chef du gouvernement du quartet et du président de la
république, n’était pas/n’est encore pas la bonne, tout simplement n’est pas rationnelle, pis, nous étions la cible de plusieurs qualificatifs idiotement prononcés par certains cadres du quartet. Nous (la société civile, militants indépendants, certains partis de l’opposition) nous ne sommes pas allés à la confrontation, nous nous sommes comportés civiquement et nous avons continué à apporter plus d’arguments à la nécessité de changer du
gouvernement et de cap.

La Tunisie nous l’aimons tous, et la démocratie ne se définit pas uniquement par un résultat des urnes, surtout par moment de construction démocratique (après 60 ans d’une dictature du parti unique) et de finalisation du processus transitionnel.

Maintenait, encore une fois le quartet a fauté, il n’a pas voulu tirer les conséquences, les discours d’hier soir ne sont pas convaincants). Ce quartet, est-il en état de réveil pour en assumer les conséquences et apporter politiquement la solution, ou bien l’attentat d’hier servira de couverture bien épaisse pour se voiler les yeux et continuer dans une logique qui ne correspond pas à l’intelligence politique. Appeler à l’union nationale de
toutes et de tous, c’est un minimum, et pour nous les tunisiens ça devient un automatisme. L’unité nationale au-delà d’être à coté de nos forces armée, au-delà de continuer à protéger les institutions de l’état, ça nécessite une révision urgente et immédiate des politiques d’urgence et d’après urgence. (Lire la suite).

La frappe de Bardo, le chaos économique et social continue à se percer, le faire au jour le jour du gouvernement est devenu une formule naturelle de gestion des affaire au gouvernement, l’attaque de Sousse fin juin, la Tunisie s’enfonce encore plus dans la crise, et dans la passivité, le couvre feu, il a été mal géré et la situation sécuritaire a évolué en forme de gestion lamentable, des arrestations ont été réalisées, OK, mais aucune
politique sécuritaire rationnelle n’a été adoptée, les projets les plus qui font atteinte à la Tunisie ont trouvé l’occasion pour passer (la recapitalisation des banques publiques 400 millions de dinars, le projet du mur à 250 km avec 150 millions d’euros au minimum où plusieurs entreprises étrangères ont eu la plus grande pactole, la feuille du président pour la réconciliation économique et financière, maladroite, et qui est venue semer le
trouble dans la société, les mobilisations pacifiques contre la feuille du président ont été réprimées, le dialogue social n’avance pas, les grèves continuent à atteindre l’économie dans son cœur, un fonctionnement bureaucratique de nos administrations, qui continue à absorber les sommes d’argent destinées aux projets (et la liste est longue).


Pendant ces 9 mois de gouvernement Essid, au moins 1,5 milliards de dinars ont étaient gaspillés inutilement et si on fait un état de lieu plus rationnelle on tombera sur 2 milliard de dollars… fin juillet et avec tous ces éléments et avec un couvre feu qui ne réussi pas au pays, j’ai émis (plusieurs d’entre nous) ont émis l’idée d’une démission du gouvernement, ce n’est pas pour être dans le sens fédératif du mot contre et s’auto apporter une
jouissance machiavélique, qui par contre anime certains de nos partis politiques, loin de là. Ce que j’avance, ce que nous avons avancé, c’est rationnel, ce que nous avons avancé permet à la Tunisie de mieux fonctionner, de mieux s’écouter, et de mieux répondre à ses échéances en matière de remboursement des intérêts de la dettes souveraines et de mieux outiller nos forces armées et de sécurité et de mieux faire avancer les reformes
structurelles, et surtout ça aidera mieux à en finir rapidement et rationnellement avec ce qui demeure suspendu du processus transitionnel. Notre contre la feuille du président, n’est pas gratuit, nous continuons à croire qu'’une véritable réconciliation nationale dans le cadre d’un projet de développement qui profite aux régions marginalisées, et à toute la nation est possible, si sérieux, franchise, et volonté y sont. (Lire la suite)

Aujourd’hui l’heure est encore plus grave qu’elle l’a été il y deux mois en arrière. Le quartet va–t-il réagir efficacement? Les partis de l’opposition qui commencent à surfer sur la frappe terroriste d’hier vont-ils être dans le raisonnable et le rationnel, où ils vont pousser la Tunisie à des solutions radicales que la nation ne pourra pas assumer ? Je ne sais pas.

– Un gouvernement d’action, un gouvernement restreint, un gouvernement avec certaines priorisations rationnelles et urgentes, c’est la solution.
– Mehdi Jomaa, (en tant que mode de gouvernance et d’état d’esprit) n’est pas la solution. Monsieur Mehdi Jomaa a bien démontré qu'’il n’est pas l’homme des urgences.

La résistance est le chemin de la gloire. Et cela passe par prendre les bonnes décisions, qui font guerre au terrorisme, et qui permettent à l’état de droit, à la république, à la démocratie de continuer à fonctionner.

C'est le minimum qu'on peut dire.

Karimyousef (France) |Mercredi 25 Novembre 2015 à 10h 39m | Historique de karimyousef
Toutes mes condoléances a leurs familles et leurs proches.
restons unis contre la barbarie , car c'est le seul moyen de la vaincre.
courage aux tunisiens face à cette tragédie.

La résistance est notre salut

Mes condoléances a leurs familles et leurs proches. allah yarhemhoum.
Tojar eddine fi Jahanam khalidine . Amine.

Toutes mes condoléances a leurs familles et leurs proches.
restons unis contre la barbarie , car c'est le seul moyen de la vaincre.
courage aux tunisiens face à cette tragédie.