Dans mon pays, il s'avère que nombreux sont ceux qui, sous l'effet de la panique mais aussi et surtout de la lâcheté , avouent leurs torts et expriment leurs remords quant aux préjudices qu'ils ont causés aux autres ; mais une fois les nuages dissipés,ils reviennent vite à leurs sales habitudes .Ceux-là nous rappellent un vieil adage de chez nous " la pierre ne fond jamais et la******ne se rachète guère" .Dans la conscience
collective des Tunisiens, Bsayes demeure un Gobels de la dictature et un" lagat 5obza" vil et bas ... quoiqu’il fasse il ne vaudra jamais plus que ça .

Monsieur Jalled , je ne partage pas votre voie politique mais j'apprécie beaucoup la claque que vous avez donné à ce VENDU Borhane Bssissa ...