Etant observateur de près et ayant suivi avec attention l'évolution de ce secteur de part ses utilités envers les citoyens toutes catégories confondues et devant la cherté de la vie et les difficultés énormes que nous rencontrons tous pour l'accès facile aux soins, je ne vois aucune relation entre la proportion de Mekki qui a l'intention de forcer les choses sur une catégorie de professionnels sans étudier convenablement le sujet de tous ses
côtés et ce qui se discutent actuellement.
D'ailleurs, personnellement j'ai émis plusieurs solutions applicables sans aucune difficulté et qui sont beaucoup plus intéressantes que celles proposées par Mekki.
Je pense que le manque d'imagination au sein des ministères qui cause beaucoup plus de trouble qu'il n'anticipe sur des solutions pertinentes.
Il suffit de revenir un peu sur les traitements des problèmes par les gouvernements précédents et surtout celui d'Essid et l'actuel gouvernement pour s'en rendre compte que le fait de vouloir imposer les idées et utiliser la force ne servira à rien et n'aboutira à aucune solution.
Le dialogue, puis le dialogue, puis le dialogue est la seule issue pour avancer à pas sûr et accéléré car malheureusement les gouvernants sont le plus souvent, en manque flagrant d'imagination des bonnes solutions.
Peut-être aussi, les difficultés quotidiennes de gestion ont borné et limités les capacités de ces gouvernants, c'est pourquoi il faut se reposer sur les citoyens qui ont aussi leur mot à dire et le gouvernement pourrait assurer l'arbitrage et le de choisir les solutions proposées pour les optimiser par la suite. Inutile d'user leurs coefficient intellectuel dans l'imagination des solutions qui, le plus souvent existent chez les citoyens.
Il suffit de voir les résolutions actuelles réussies à Kerkennah( cas de Pétrofac) et le bassin minier de Gafsa ( CPG ) pour en déduire que nous pourrons avancer et enregistrer des bons taux de croissance. C'est le génie du Tunisien qui fait surface. Il suffit de l'écouter et éviter de se montrer qu'on possède la réalité absolue si on est au pouvoir.

Ce problème existe même au canada.