Ces deux candidats étaient présentés comme très neutres:)

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Aujourd'hui ils sont membres de Nida Tounes.
Le premier est nommé vice président. L'autre coordinateur avec les instances internationales.
Donc Nida Tounes pensait vouloir entuber toute la classe politique lors de ce dialogue national ou plutôt le bal des hypocrites.
Et rappelez vous quand la candidature de Sid Ahmed Mestiri a été qualifiée par ces même personne d'une manœuvre d'Ennahdha de placer leur candidat !
Il est où Ahmed Mestiri aujourd'hui ?
Chez lui à Gammarth.
Et Ils sont où les deux candidats finalistes qu'ils voulaient nous imposer ?
Aux berges du Lac, au siège de Nida!
Comment voulez vous que les électeurs fassent confiance à ces gens là ?
Mais pourquoi s'attachent-ils vraiment au pouvoir ?
Beaucoup de questions nous laissent, nous autres pauvres électeurs perplexes ?



Je ne prétends pas apporter toute la réponse, mais un premier élément de compréhension de cette attitude nous révèle que cette classe est habituée à ces basses manœuvres de la politique à l'ancienne et héritées des anciens régimes ( Husseinite, protectorat, Bourguiba et enfin Ben Ali).
Pour eux la politique c'est des coups bas, la Ruse, la Fourberie enseignée à l'école florentine du Prince de Machiavel.
D'ailleurs des septuagénaires et des octogénaires ne peuvent pas comprendre le sens de l'engagement politique moderne: honnêteté, dévouement, partage avec la société civile, modestie,.. Tout le contraire de la bande à Essebssi quoi.

Je plains aujourd'hui tous les jeunes qui ont rejoins ce club des derniers protecteurs du temple des privilèges et qui croyaient bien faire.
Bientôt la grande désillusion.
Déjà beaucoup de démissions comme celle des députés Chokri Yaich, jamel Gargouri, Dhamir Mannai, Brahim Kassas....les bureaux de Sfax, Sousse, Ben Arous, Nabeul...

Il est fort édifiant de remarquer que les départs sont plutôt jeunes, les entrants sont des vieux de l'ancien régime.

Ça sera bientôt le Club des vieux schnocks.