Tunisie: Le cinéma tunisien se porte bien en ce début 2012

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En ce début d’année 2012, le cinéma tunisien se porte bien avec la sortie de cinq nouveaux films dont certains se branchent sur la révolution du 14 janvier.


La salle ''Le Palace'' à Tunis propose, à partir du 16 janvier, le film ''Chroniques de la Révolution'' de Habib Mestiri.
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La Révolution tunisienne racontée à travers les regards croisés de jeunes issus de différents milieux et régions: la bourgeoise francophone de Sousse, l'étudiant rigoriste d'un quartier populaire de Tunis, l'artiste bohémien, le martyre amputé de Kasserine, l'enseignant pieux de Sidi Bouzid, les enfants citoyens de Gabès.

Ces jeunes de tous âges racontent, par leurs témoignages et leurs propres films, comment ils ont vécu la Révolution et quel futur ils imaginent.

Ils confrontent leur regard avec celui d'artistes tunisiens internationaux (Claudia Cardinale, Georges Wolinski, Françoise Gallo) profondément attachés à une Tunisie cosmopolite.

Quant au réalisateur Elyes Baccar, il présente son film documentaire ''Rouge Parole'', dans les salles Hannibal et Amilcar à El Manar (14-31 janvier).

Le tournage du film s'est déroulé depuis le début de la révolution, la période comprise entre le 14 janvier 2011 et la fin de février 2011.

C'est un documentaire qui s'est construit au fil du temps et des séquences, des images poignantes et marquantes de la révolution tunisienne.

Par ailleurs, les salles Le Mondial (Tunis), Amilcar (El Manar), Cinémad’Art (Carthage) proposent, du 16 au 22 janvier, le nouveau film ''où est papa ?'' du réalisateur de Jilani Saâdi.

Ce long métrage, du genre comédie dramatique, réunit Jamel Madani, Mila Benyoussef, Bourawiya Marzouk, Mehrez Guellouz, Maha Bouafif, Hached Ezzamouri, Khaled Gasmi, Hédi Hédhili et Habib Afli.

Le film traite de la difficulté d’un jeune couple de s’accomplir dans un seul monde. Ons refuse de se rendre à sa noce. Halim, son mari, subit ça comme une grande injustice et honte. Il s’enferme chez lui quelques jours puis décide d’abandonner sa vie sociale pour rejoindre un groupe de marginaux. Punie et enfermée par ses parents, Ons réussit à s’échapper pour errer dans la ville. Halim et Ons se retrouvent dans cette vie d’errance.
Vont-ils réussir à vivre dans ce monde marginal ce qu’ils n’ont pas réussi dans la société normale? Quant au film de la réalisatrice Nadia Mezni Hafaiedh ''Histoires tunisiennes'', il est programmé du 16 au 22 janvier, dans les salles Alhambra (La Marsa), Le Colisée (Tunis), Ciné Jamil (Menzah) et Hannibal (El Manar).

C’est la destinée de plusieurs personnes, Shams qui vit une déception amoureuse. Sabrine entre deux flammes: la pression familiale qui veut la caser à tout prix et sa vision de son prince charmant. Inès, après son divorce, elle jouit de son célibat. Hassan, après la mort de sa femme qui était l’amour de sa vie. bref tout un monde qui bouge dans tous les sens.



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Comments


2 de 2 commentaires pour l'article 44030

Atef  (Tunisia)  |Mardi 17 Janvier 2012 à 22h 59m |           
Combien ces films ont couté au contribuale en ces periodes ou des tunisiens n'ont même pas l'eau potable ?

Rochdi  (France)  |Mardi 17 Janvier 2012 à 17h 55m |           
Bravo


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