@PARISIEN
Pourquoi pas?
Je t'avoue que je pensais beaucoup plus à la Tunisie et à nos libertés qu'aux magistrats.

@PARISIEN
Les juges dont tu parles sont désignés parmi un corps de magidtrats élus, non pas par eux-mêmes, mais par le peuple.
De plus, tu cites toi-même un contrôle parlementaire, alors que le projet d'amendement de l'article 103 fait état d'une désignation par le chef du gouvernement, sur proposition du... ministre de la justice, soit totalement par l'exécutif.

@Srettop
Ce que tu dis à propos des US est totalement faux:
"Les juges des cours d'appel et des cours de district, comme pour les juges de la cour suprême sont nommés par le président américain avec approbation du Sénat"

Si on se laisse les juges élire entre eux mêmes comment garantir que les juges de ZABA ne s'accaparent pas de la justice pour s'en servir pour leurs intérêts personnels sans aucun contrôle ni possibilité de punir qui que se soit. Tu connais très bien la règle:" Je te sers et tu me renvois l'ascenseur.. et on s'enfiche de la justice ..personne ne peux nous faire quoi que se soit"

@PARISIEN
Souvent le concept de "contrôle du peuple" est un concept fumeux et démagogique dont on se sert chaque fois qu'on veut attenter à la liberté. Comment le "peuple" contrôle-t-il?
Mais puisque tu demandes des idées, en voici:
On peut imaginer que les juges se fassent élire,comme aux US par exemple. Quoi de plus démocratique?
On peut également envisager que les nominations soient approuvées par le parlement,etc etc.

@Sarra2012
Ce que je n'arrive pas à comprendre que ces pseudo opposant ne réalisent pas que la déstabilisation pourra leur coûter leurs têtes. Si (la kaddara allah) le contrôle du pays s'ébranle une grande majorité du peuple, très déçue par la complicité de la justice qui a blanchi tous les despotes de l'ancien régime, va en profiter pour régler ses comptes mais ça sera d'une manière sanguinaire cette fois ci .. En cas de déstabilisation totale de
l'Etat aucune puissance en Tunisie ne sera capable de contrôler les milliers des frustrés trahis par la justice et qui se trouvent notamment dans les quartiers populaires pauvres qui n'attendent que cette occasion pour se défouler

Les magistrats corrompus veulent échapper à tout contrôle. kalthoum kennou et ses collègues ont démontré leur aliénation totale à des partis communistes dans leur sit-in de bardo. ils sont entrain d'exécuter les directives de distabilisation du pays et les plans des ennemis de la révolution.

@Srettop
A toi que je m'adresse

Oui pour la séparation des pouvoirs mais sans échapper au contrôle du peuple. Je te laisse le soin de nous proposer librement comment on désigne les hauts magistrats sans échapper au contrôle du peuple,
Vas -y on t'attend ..

Pour sortir de cette situation,un des groupes parlementaires pourra proposer l'ajout d'une disposition qui consiste à soumettre au vote populaire:
-les membres du conseil supérieur de la magistrature
-le procureur général de la république
et dans ce cas,ces derniers auront le pouvoir de désigner les hauts fonctionnaires et les juges.
il presque certain que le syndicat et l'association refuseront ceci,parce que en fait ils ne veulent pas un vraie indépendance de la justice!

Ils veulent faire tous ce que les grandes démocratie l'on fait en 150 ans

Dorra (Italy) vas vivre en egypte

Ils veulent un Etat au dessus de l'Etat, comme s'il n'y a pas eu assez d'injustice et de magouilles. Ok pour une justice propre mais avec qui maintenant ? avec ces juges ??? Cent ans plus tard, on aura peut-être une justice propre et je suis très optimiste encore, pour la bonne conscience, disons deux cents ans plus tard. J'ai failli dire et encore...

Comme a dit Mandhouj, am Ali n'est pas pressé non plus. L'ANC ne votera pas le nouveau gouvernement avant le parachèvement de la constitution, entre temps l'ISIE a commencé à faire son travail et chaque jour de retard sera un jour de plus pour la troika au pouvoir

De toute manière 2014 est long
Prennez tout votre temps pour formuler, rédiger, voter,...
Mehdi Jomaa n'est pas pressé pour diriger un gouvernement.
Ben Ali harab
Mandhouj Tarek