En peu de mots, un patriarche responsable fait le lien entre la dynamique politique et la logique socio économique.

Ce gannouchi vient de dire dzns un autre interview qu'il espère qu'un électeur sur trois votera pour Ennahda ! Soit qu'il dispose de 33% des voix du peuple mais Ca ne lui donne nullement le droit de dicter ses décisions et de modifier la feuille et de l'imposer aux 66% du reste de la population !
Si cette attitude ne s'appelle pas dictature alors je me tais

Bravo, bien dit.
Celui qui n'est pas d'accord c'est qu'il est soit contre le peuple et ses choix, soit contre le processus démocratique, soit rêvant encore de retrouver sa belle vie et ses vieux amours, et souvent des personnes qui incarnent les trois désirs à la fois

De toute manière après la finalisation des exigences de la transition ''constitution, loi électorale,...'', le gouvernement qui arrivera il aura deux missions, organisation des élections, et gestion quotidienne des affaires''. Pour cela il faut augmenter les attributions du président de la république en matière de sécurité intérieure et en diplomatie, afin d'avoir si nécessaire un président élu pour prendre des décisions lourdes. Le nouveau gouvernement n'aura jamais l'habilitation de prendre des décisions engageantes stratégiquement la Tunisie. Il accompagnera le déroulement des projets en chantier aussi.
Pour moi la sécurisation du processus démocratique passe par là aussi.
Soyons courageux et osons la réelle rupture avec la dictature.
Ben Ali harab.
Le prochain dictateur n'aura pas l'occasion de faire un houroub. Soyons clairs la dessus.
Ben Ali harab.
Mandhouj Tarek.