Le rêve collectif ou plutôt, le rêve majoritaire
Pour faire court et sans trop de philosophie : pourquoi nos medias tuent nos rêves de jeunesse ?
Nous la génération de l’indépendance, néee après 1956, on a fabriqué dans notre conscience le rêve de l’évolution de la Tunisie (…). Aujourd’hui et depuis un moment et vu la révolution technologique (…) on a fabriqué aussi le rêve de l’innovation de la Tunisie. La dictature du psd/rcd a abimé ces deux rêves. Force de vivre sous la dictature du parti unique, de la vision unique, de l’homme providence (el moujahid el akbar et puis l’homme du
changement), on a construit des résistances (…). La révolution du 17 décembre 2010/14 janvier 2011 est venue rendre à ces possibles historiques (l’évolution, la rénovation, la modernisation de notre pays), tout simplement possible. Durant les deux dictatures notre société était animée dans sa conscience collective, par l’idée démocratie et du pluralisme.
Le consensus d’après le 14 janvier 2011 pour une assemblée constituante est venu confirmer notre animation interne et partagée en un choix politique de tous les partenaires politiques et de la société civile.
Depuis avant la chute du régime de ben Ali, notre conclusion collective était : que la démocratie et le pluralisme font partie du nécessaire inéluctable à cette innovation à laquelle nous aspirons toutes et tous depuis des décennies.
Nous étions gouvernés pendant 6 décennies par et à travers des modes, des méthodes, et des esprits qui font partie du modèle de la féodalité et de la corruption des valeurs et des relations. (je n’élimine pas les progrès acquis). Mais vu le système politique du parti unique et de l’état policier, notre nation était divisée, martyrisée, spoliée dans sa richesse (…).
Aujourd’hui notre grande majorité est animée par ce désir à cette innovation (dans les méthodes, les esprits).
Aujourd’hui, vient une opposition qui en la majorité de ses composantes rêvé comme nous tous de la démocratie, sectionner, débiter, ce rêve par le fait qu’elle s’est retirée du processus démocratique.
Les membres de l’ANC par le fait de se retirer, ils veulent tuer en nous notre rêve d’enfant, d’adulte en un état démocratique, en une société qui vivra un pluralisme politique et culturel de valeur. Au nom de quoi ils et elles veulent tuer ce rêve à ce possible politique, culturel, historique tout simplement, qui est la démocratie et le pluralisme?
Au nom de quoi ils et elles nous font ça ? Pour quel but ?
En fait, je ne sais pas. Et je n’ai pas envie d’imaginer.
J’ai juste envie de rester dans mon rêve, et dans ma lutte, dans ma résistance, tout simplement dans mon choix de démocratie. Ben Ali harab. Mandhouj Tarek.

En somme, la tunisie n'a pas de classe politique , ni de journalistes, ni cadre réglementaire et institutionnel pour conduire cette étape...
Rompre avec un régime déchu, et dont les serviteurs et les structures sont demeurées en place, faute d'en avoir pris la mesure pour s'épargner des déconvenues, nous voilà face à une équation bien difficile à poser, encore moins à résoudre.
On peut émettre l'hypothèse que le pouvoir "nouveau" s'est aisément coulé dans ces habits taillés à sa mesure par proximité de visée ou par opportunisme. Ils recourt aux compétences de ces hommes nantis d'une expérience notoire à bàillonner le pays, pour à son tour asseoir sa domination.
Les faits récents peuvent illustrer cette hypothèse...

Je suis tout à fait d'accord. Ben Ali harab. Mandhouj Tarek.

Ton avis est destiné à tes patrons d'Al7a9ira.

Le commentaire cité dans cet article date du 28 nov. 2012 cf. https://www.facebook.com/habibghribi

La plupart des pseudos journalistes tunisiens ont ete' place' a la tele' poubelle parce qu'ils ont ete' des mouchards ou au service de leurs maitres trabelsias et parcequ'ils sont incultes et nuls ils preferent rester esclave et mouchards et travaillent toujours pour la pollution tunisienne

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