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Le peuple tunisien réussira à imposer la démocratie, et comme il a fait fuir certains sourrakes, il gagnera contre le système mafieux qu'a construit ben ali, sa coiffeuse, et leurs zbirs. La presidence à Vie = la féodalité par excellence. Ben Ali essarak harab. Mandhouj tarek.

Nida essourrak, complots, rumeurs, mensonge, mais la tunisie est toujours débout.
depuis le houroub de ben ali, on assiste à la télé, dans les radios, sur les sites web, fesse de book... à des émissions, des témoignages, des commentaires, des articles, des vidéos… qui montrent bien que le pouvoir, post révolution, n'est pas dans la limitation des libertés. et si on peut dire que les gouvernements de gannouchi et de bce n'avaient pas la possibilité de finir avec cette liberté vu la révolution en court. le gouvernement de la
troïka a compris que réguler les libertés aujourd'hui est une grosse erreur, car le peuple (citoyens, société civile, journalistes du service public et des medias privés) avait encore besoin de cet espace de liberté pour dégager el kabousse qui vivaient depuis l'avènement de la dictature bourguiba, le délogé, et de ben ali, le harab. la famille destourienne a bien ligoté/étouffé l'être tunisien et elle l'a réduit à une chose (un loque), un
être qui n’avait pas le droit de penser, de proposer, de s’opposer. merci bouazizi, merci la jeunesse, merci peuple de la révolution, merci la troïka et surtout ennahda qui ne s’est pas ridiculisé par des interdits dans le sens de réduire les libertés.
dans cet espace des libertés (arrivées au stade anarchique), la tunisie a tenu débout.
- la contre révolution a attaqué sur tout les côté (contre bande, économie parallèle, insécurité et exploitation de la faiblesse de l’appareil policier, fabrication des rumeurs, sit in et grèves politisés et à des fins de nuire au gouvernement, à bloquer les reformes, à faire souffrir le peuple…),
- nida tounis a su rassembler les rcdistes, et à leur fabriquer un faux espoir (un leurre d’espoir). ils se sentent (ou plutôt un certain moment) ils se sont sentis de retour au pouvoir avec l’aide des certains (la grande argent sale/dégoutante des certains pays du golf, avec le soutien de l’appareil médiatique public et privé des certains pays européens –surtout la france-, avec le soutien ouvert des certains hommes politiques français
amaturistes, et et et, la liste est longue). aujourd’hui les choses se compliquent pour eux. la période transitoire arrive à échéance, la constitution ne demande qu’à être discutée et adoptée par deux tiers ou par referendum, les élections sont dans quelques mois, mais nida les comploteurs n’ont rien proposé au peuple, nida les comploteurs ne pourra pas mener les partis du front populaire dans une alliance électorale, le parti el joumhouri a
compris son rôle sur l’échiquier politique –tout sauf nida ben ali/leïla/bce, nida essourrak-. nida réfléchit, nida manigance, nida complote, nida fabrique des rumeurs, des accusations à tort et à mensonge, nida a conjugué ses forces, nida devient dingue, nida … nida a compris qu’il mourra piétiné sous les pieds de la conscience politique des tunisiens et des tunisiennes, nida est mort, avant les élections. il était mis au monde par un bce pour
mourir à cette date –avant les élections-. nida n’a rien à proposer, sauf diviser la société. bce baybay, nida essourrak au revoir, sans retour, les tunisiens ont compris votre jeu. degage. ben ali harab. mandhouj tarek.

Chaque fois que je vois le ministère de l'interieur je tremble de peur,il faut la délocaiser de cet endroit ou de la repeindre pour faire oublier les jours tristent que la plupart des gens on y passé.