L’Etat tunisien n’est même pas prêt à recevoir de l’argent

Je viens d’entendre à la radio nationale, ce matin du mercredi 23 décembre 2015, un Communiqué officiel, appelant les conducteurs de voiture à ramener avec eux de la monnaie, pour régler le péage des autoroutes.
C’est honteux.
Comment l’Etat tunisien peut-il s’abaisser à ce niveau-là pour traiter avec ses citoyens.
Et d’ailleurs, je ne comprends pas pourquoi nous continuons à payer des autoroutes vieilles de plus de 30 ans. En Germany à titre d’exemple, on peut sillonner le pays dans toutes les directions en autoroute, sans payer aucun centime. En Tunisie, non seulement on paye des autoroutes mal foutues, mais en plus, on nous demande d’apporter de la monnaie. On n’est pas arriéré par hasard.

Et l’on va à l’étranger pour mendier des prêts, que nous, nos enfants, nos petits-enfants et nos arrière-petits-enfants sont obligés de rembourser.

Si l'affaire HSBC qui a suivi les perquisitions de la banque à Genève par le Ministère public genevois s'est soldée par son classement, il reste les fonds Ben Ali qui, eux, n'ont pas été classés. Le parquet genevois, qui voulait s'en dessaisir à la faveur du Ministère public de la Confédération, est renvoyé dans les cordes. Le Tribunal pénal fédéral vient de trancher: c'est bien à Genève de traiter cette affaire.

Retour sur les faits: après les perquisitions menées par le ministère public genevois chez HSBC Genève, la Tunisie prend langue avec le ministère public genevois. Nous sommes en février 2015. Le mois suivant, Tunis se constitue partie plaignante «en raison de faits de blanchiment aggravé commis par HSBC eu égard aux relations bancaires ouvertes par le clan Ben Ali».

Manque de célérité

Saisie du conflit de compétence entre le MPC et le parquet genevois, la Cour des plaintes reproche aux magistrats genevois d'avoir trop attendu. Selon elle, les juges auraient dû interpeller le MPC en mars 2015, dès qu'ils ont eu connaissance de la dénonciation de la Tunisie.

Comme le parquet genevois a déjà procédé à des perquisitions au sein de la banque HSBC, il dispose de «connaissances spécifiques sur l'organisation de celle-ci». Il se justifie dès lors que ce soit lui qui instruise l'affaire. Contrairement à ce qu'il soutient, relève le TPF, tant l'économie de la procédure que le principe de célérité plaident pour que le dossier reste en mains genevoises.

Sans intérêts, comme il se doit pour un pays a tradition musulmane très marquée!bien sur, déduction faite du soutien au salafisme et au Wahabisme d état..... Et a l'assassinat impuni de mohamed Ali Akid.....et surtout a la paternité de l'enfant illégitimement....renié...... J ai nome daech

C'est le cadeau de fin d'année ... sans compter le reste ...