في لقاء غير رسمي: الوزراء يقيّمون أداءهم وأداء رئيسهم

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في اطار اللقاءات الدورية غير الرسمية اشرف رئيس الحكومة السيد الحبيب الصيد صباح اليوم بالحمامات على لقاء جمعه باعضاء الحكومة ومستشاريه تناولوا فيه الاداء الاتصالي وقيموا عمل الوزارات خلال الفترة المنقضية والبرامج المستقبلية.

في تصريح اعلامي نفى الوزير المكلّف بالعلاقات مع مجلس الشعب لزهر العكرمي طرح ملف التحوير الوزاري خلال اللقاء .






Credits Mosaique FM

وأفادت اذاعة موزاييك أنّ كل وزير سيقوم على حدى بتقييم أدائه بسلبياته وايجابياته خاصة فيما يتعلّق بالاتصال مع الرأي العالم ومع وسائل الاعلام قبل أن يقوم الوزراء بتقييم أداء رئيس الحكومة.








Comments


12 de 12 commentaires pour l'article 112151

Wissem Ayeb  (Tunisia)  |Lundi 28 Septembre 2015 à 14:24           
علاش في نزل في الحمامات ياخي رئاسة الحكومة ما فيهاش قاعة اجتماعات ولا زمعة تشغليعة على حساب الشعب لواحد من ممولي الحملة الانتخابية للنداء وقيد خدمة وطنية في الراحة الاسبوعية

AbouAlMntacir  (France)  |Dimanche 20 Septembre 2015 à 22:18           
قالولوا وين ماشية فلوسك يا شعب؟
قالهم بين مجلس النّوّاب وقرطاج واجتماعات الوزراء في الوتلة

Mandhouj  (France)  |Dimanche 20 Septembre 2015 à 07:09           
Avec un regard de progrès, je sais que mon actuelle situation n'est pas ma destination finale.

et le gouvernement?

Mohamed Fathallah  (Tunisia)  |Samedi 19 Septembre 2015 à 22:38           
إذا كان اللقاء غير رسمي فهذا يعني أن كل وزير سيتحمل المصاريف المترتبة على هذا اللقاء وحتى المصورين عليهم أن لايكونوا من موضفي الدولة وكذلك قاعة الإجتماعات الذي يجب أن يشتركوالوزراء في كرائها إلى غير ذلك أنا لا اتكلم عن عمر ابن الخطاب ولكن اتكلم على الحكومة البريطانية والنرويجية وغير ذلك

Mandhouj  (France)  |Samedi 19 Septembre 2015 à 17:10           
Une auto évaluation, sous le signe de quoi ?

Depuis l’arrivée de ce gouvernement, nous vivons des peurs justifiées, et palpables dans le quotidien immédiat des citoyens surtout :
- en matière de pouvoir d’achat. Les prix augmentent, le marché est toujours menacé par la contre bande, l’économie parallèle, et le blocage de la distribution demeure toujours possible,
- et en terme de recul démocratique. Même des petites contestations sont réprimées. Un état d’urgence qui menace plutôt les libertés,
- en matière de sécurité ne parlons pas, le terrorisme a frappé là où il ne faut pas, et continue à être une sérieuse menace. Ce n’est pas que le tourisme qui est touché mais aussi l’investissement local et étranger.

Le parcours de ce gouvernement a produit d’énormes déceptions et beaucoup de désespoir, la preuve la radicalisation de nos jeunes et même jeunes/adultes continue. Et cela est aussi le résultat de l’absence d’un contrat social où chaque individu pourra se trouver dans ses rêves légitimes et dans son quotidien immédiat (la vie de tout les jours, recherche d’emploi, des prix chers et de plus en plus, la scolarité de nos enfants et tout le temps
menacée…).

Le service public est bafoué (juste à regarder l’état lamentable de nos hôpitaux), les orientations économiques sont d’un ordre libéral dangereux… un état d’urgence qu’on ne comprend pas son sens à part la baisse des libertés. Les terroristes attaquent des maisons pour s’approvisionner, comme s’ils ont une assise citoyenne qui prépare d’avance les provisions !!!! .


Des lois très importantes sont votées ou proposées, et qui sont très dangereuses, à titre d’exemple la recapitalisation des banques publiques spoliées par des hommes d’affaires depuis l’époque de Ben Ali. La feuille du président de la république pour la réconciliation économique et financière vient compléter cette mascarade. Et même après la mobilisation de l’opposition, de la société civile et le mécontentement des citoyens affiché sur les
réseaux sociaux, et avec l’entré sur la ligne du quartet du dialogue national (sans l’UTICA), la chose reste trouble. La présidence vient d’annoncer qu'’elle prépare une autre copie mieux réconciliant, mais qu'’on voit les juristes qui sont derrière cette feuille, on ne peut que s’inquiéter.


Ce pendant et afin de ne pas être dans le néant, question de moralité ! Le tout n’est pas noire, il pourra rester des lueurs d’espoir, et la descente en enfer pourra ne pas être pour tout de suite, et il peut y avoir « sauve qui peut », ou « limiter les dégâts », si l’opposition, la société civile dans toute sa pluralité, les collectifs jeunes, travailleront pour un sens commun, dans le sens des objectifs de la révolution, et faire tout pour
faire réussir la finalisation de ce qui reste de la transition (finaliser le processus de la justice transitionnelle, celui de la réconciliation nationale, le tribunal constitutionnel, renforcer la démocratie, renforcer la place et le rôle des instances indépendantes).

Sans renforcement des contres pouvoir, civils –la place des citoyens dans la décision politique-, civiques –le contrôle de l’action publique par les mécanismes de la transparence- et institutionnels –les instances indépendantes- et politiques –permettre à l’opposition parlementaire de mieux contrôler l’action du gouvernement avec une meilleure présence dans les commissions parlementaire et un droit fort à la parole-, la démocratie ne pourra
jamais continuer à exister comme un élément qui génère de l’innovation en politique, de l’inventivité et du progrès social, historique et humain. L’actuel contrôle des médias par certains lobbys fait trop mal à la démocratie.

Moi je pense que du moment où les objectifs de la révolution ne sont pas la base de tout projet de gouvernement, la chose publique sera toujours la dernière préoccupation des gouvernants, et idem pour la démocratie et les libertés. Aujourd’hui la société civile n’est pas en position de contre-pouvoir, donc on peut dire, sans trop se tromper, que nous sommes orphelins.

De quelle auto-évaluation nous parle le gouvernement ?

Antar Ben Salah  (France)  |Samedi 19 Septembre 2015 à 17:07 | Par           
S'ils savent ce qu'on pense d'eux ils ne s'autocritiquent pas mais ils se suicident ensemble .

Mandhouj  (France)  |Samedi 19 Septembre 2015 à 16:57           
Nous voulons tous être dans la construction. Mais la volonté constructive du gouvernement et de la présidence de la république est visiblement absente. Aucune écoute de leur part n’est à l’ordre de leurs engagements. Les défis urgents sont toujours à la traîne.

– Le défi démocratique, la démocratie est toujours menacée:
– Le défi en matière de propreté urbaine, les consciences ne sont pas assez réveillées:
– Les défi sociaux et économiques en matière de cherté de la vie, insalubrité des hôpitaux, peu de confort dans les écoles et les structures de formation (centres de formation, foyers de logement, cantines). Le Tunisien vit mal son quotidien;
– Le défi sécuritaire, les avancées sont petitement palpables, ou même non existantes, le terroristes rentrent dans les villages et s’approvisionnent !! ?? . Notre tourisme demeure toujours otage des menaces. On aura beau faire des clips de promotion de ce secteur, il suffit d’une intrusion d’un groupe terroriste dans un village pour récupérer de l’alimentaire, pour que l’info gagne tout les médias et réseaux sociaux nationaux et étrangers. De
quelle promotion du tourisme en Tunisie parle-t-on?
Argent dépensée à gogo dans le fonctionnement de la bureaucratie, la multiplication des échelons technocratiques s’affirment de plus en plus.

Nos gouvernants aiment les réunions et les concerts, et aiment prendre des mesures, mais la réalité est toujours la même. Il est temps de se poser la question du sens et de l’utilité de cette manière de gouverner.
Restons toujours dans un esprit constructif et osons l’initiative, la bonne initiative Mr le chef de l’exécutif gouvernemental.

Franchement, pour moi, un nouveau gouvernement mieux recentré sur les dynamiques, fera mieux l’affaire des Tunisiens, citoyens, entreprises et partis politiques.

Mustafe10  (Tunisia)  |Samedi 19 Septembre 2015 à 16:51 | Par           
مساكن يعملو حتى يوم السبت ويتعبو للذهاب للنزل ...خقيقة ساير عليهم تو يصيرللهم surmenage

Kahouli  (Tunisia)  |Samedi 19 Septembre 2015 à 16:50 | Par           
Resultat global catastrophique

Mohamed Fathallah  (Tunisia)  |Samedi 19 Septembre 2015 à 14:10           
Ce travail pouvait être fait a la kasbah et non dans un hôtel 5 Etoiles avec tout ce cela va couter a l'état. nous devons voir le gouvernement faire des économies pour nous convaincre que nous sommes au bord du gouffre economique.

Tahrir  (Tunisia)  |Samedi 19 Septembre 2015 à 13:52 | Par           
لزهر العكرمي ابن عكرمة ابن أبرهة الأشرم الذي كان مخبرا صغيرا وكبر وصار ماشاء الله وزيرا برتبة منسق صاحب سياسة شكار العروسة أمها وإلا خالتها . إذا كل وزير سيقيمه وزيرا اخر يا سبحان الله هاي الديمقراطية وإلا بلاش !!!

Swigiill  (Tunisia)  |Samedi 19 Septembre 2015 à 13:48 | Par           
هههه منو فيه زيتو يقليه هههه


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