@Ifrit
Je pense que vous avez mal compris ma dernière phrase.
Je n'avais pas dit que vous étiez partisan du régionalisme, bien au contraire. J'avais très bien compris que, comme moi, vous y étiez farouchement opposé.
Du coup, je reprends ma phrase en lui ajoutant une expression qui la rendrait plus compréhensible :
Le commentaire de "Ifrit", avec lequel je suis assez d'accord, expose "les dangers" et les prémices d'un régionalisme criminels et nuisible.

-L’indifférence depuis près d’un siècle perdure => ça c’est pour l’histoire.
-pour des solutions à court et long terme et comme la problématique de la région et très complexe vu la perdurance, une dizaine de ministères (à qui revienne la charge) doivent envoyer des délégations avec un vrai agendat(ca va etre trés long)pour amener des solutions et ainsi « rendre à césar ce qui est à césar »
A bon entendeur

@ RidhaE
Cher ami, au contraire mes remarques sont tout-a-fait contre le régionalisme qui est, ne le cachons pas, enraciné chez certaines personnes en tunisie. Ce que j`insinuais c`est que le problème du phosphate est un faux problème et que certaines personnes surtout syndicalistes en ont fait un alibi pour se promouvoir sans interets au vrais problèmes des régions en tunisie. Alors épargnons-nous les accusations gratuites, nous sommes tous tunisiens.

Adnen, bien qu'élu et sensé avoir lu et compris la constitution, n'a pas compris que son appel à BCE ne peut aboutir car ses prérogatives ne lui permettent pas d’intervenir dans ce dossier.
Les promesses faites lors de la campagne engagent un parti ou une coalition et non un homme. Certes, BCE a promis beaucoup de choses mais c’était au nom de son parti et non en son nom propre ; il savait très bien que, une fois élu président, il va être empêché par la constitution de réaliser ses promesses qui seront à la charge d’autres institutions républicaines.
En réalité ce n'est pas à BCE que Adnen aurait dû s'adresser pour ce genre de problème mais à M. Essid ou aux ministres concernés.
L’époque où le président décidait de tout est révolue et Adnen devrait le savoir. S’il ne le sait toujours pas, en tant que législateur élu, c’est grave et dangereux.
Pour finir, ce n'est pas en vociférant, en ruinant l'économie de la région et du pays et en disant n'importe quoi que les problèmes vont être résolus. Bien au contraire, car même ceux qui travaillent encore dans les mines vont finir par perdre leur boulot.
Le commentaire de "Ifrit", avec lequel je suis assez d'accord, expose les prémices d'un régionalisme criminels et nuisible.

@ Kairouan. Je suis tout-à-fait d`accord et j`ajouterais meme que ce phosphate est une damnation pour la tunisie et son problème ne sera jamais résolu. Depuis des années on n`entend parler que du phosphate et des problèmes économiques et sociaux qu`il engendre. A mon avis, personne ne peut résoudre ce problème tant que ce minerais se trouve à Gafsa. Les gafsiens veulent s`approprier tous seuls les revenus de cette compagnie eulement parceque ce
minerais se trouve sur leur territoire. Alors les gens du Sud vont dire les revenus du petrole et du gaz sont à nous, et les gens des cotes vont dire les revenus de la mer sont à nous et ainsi de suite. Et meme si on répartis les actions de la compagnie sur tout les originaires de Gafsa ( en plus de la priorité à l`emploie et autres ) et meme si on mettait ce monsieur jamais satisfait pdg, le problème ne sera pas résolu parceque ces gens ne
savent meme ce qu`ils veulent. Je les comprendrait s`ils demandaient plus de sécurité au travail, plus d`engagements de la compagnie dans le développement régional, mais faire du chantage à tord et à travers ne résoudra aucun problème ni aujourdhui ni demain. Pensez à vos enfants et à la tunisie. Ce Phosphate appartiens à la tunisie et non à une tribus quelconques. Je sais que certains ne seront pas d`accord avec moi mais les tunisiens ont en
marres de ce problème.

Ce problème qui persiste depuis la révolution avec une chute importante de la production du phosphate c'est à dire une réduction de 3/4 de la production malgré l'augmentation importante du nombre d'employés et en conséquence de la masse salariale représente la plus grande catastrophe et au lieu que tous les efforts se conjuguent pour redresser la situation et enregistrer une meilleure production et pourquoi pas supérieure à celle de 2010 avec cet effectif nombreux nous constatons qu'il n'y a pas des interventions efficaces de la part du ministère de l'industrie et de l'énergie . On dirait que ce ministère n'a par de l'énergie pour rétablir la situation.