LE PAYSAGE ODIEUX-VISUEL TUNISIEN
Citoyen Averti
Indubitablement, nos journalistes ne changeront jamais, leurs états de fait et leurs états d’âmes sont réellement sincères et spontanés. Ben Ali ne les réprimait pas outre mesure, ils sont nés, ont grandit puis murit sous les dictatures et leur premier principe c’est l’irrespect de la légalité. Avant, pendant la dictature, ils se moquaient bien du peuple et sacralisés l’ancien pouvoir illégal, actuellement, ils persistent dans leur stratégie, un irrespect de la légalité et un déni total de la volonté du peuple. Surement qu’il existe des journalistes honnêtes, qui respectent leurs concitoyens et essayent de toutes leurs forces d’être objectifs, mais l’orientation générale reste dominée par une mafia corrompue et malfaisante qui espère encore en la réincarnation de la dictature sous quelques formes que se soit, car les « entités » infectes ne peuvent survivre que dans le pourrissement.
Indubitablement, nos journalistes ne changeront jamais, leurs états de fait et leurs états d’âmes sont réellement sincères et spontanés. Ben Ali ne les réprimait pas outre mesure, ils sont nés, ont grandit puis murit sous les dictatures et leur premier principe c’est l’irrespect de la légalité. Avant, pendant la dictature, ils se moquaient bien du peuple et sacralisés l’ancien pouvoir illégal, actuellement, ils persistent dans leur stratégie, un irrespect de la légalité et un déni total de la volonté du peuple. Surement qu’il existe des journalistes honnêtes, qui respectent leurs concitoyens et essayent de toutes leurs forces d’être objectifs, mais l’orientation générale reste dominée par une mafia corrompue et malfaisante qui espère encore en la réincarnation de la dictature sous quelques formes que se soit, car les « entités » infectes ne peuvent survivre que dans le pourrissement.
D’abord, il y a Tunis sept
Qui nous rend de plus en plus bête
On ne sent plus rien dans sa tête
Plus on paye et plus on s’endette
Et puis il y a Tunis vingt et un
Qui dans la gabegie nous maintient
On devient bête mais on se sent bien
Pour accéder au « bonheur », il suffit d’un rien
La chaîne au nom historique
Hannibal Barca le magnifique
Dans ton cerveau, elle arrête le trafic
T’étais normal, tu deviens farci de tics
Quand à la brise des caniveaux
La chaîne nesma, loin s’en faut
Friperie des modernismes option idiots
Une vraie école pour les corbeaux
Haro sur la chaîne qui s’accapare notre nationalité
Attounousia, l’injustement nommée
Là où le papotage devient réalité
Une mise en scène d’éclat pour des sous-doués
Le dialogue tunisien monologue
Un vieux chnoque qui prologue
Deux mégères qui épiloguent
L’apocalypse est là, paroles de rogues
Mention spéciale la botte de persil
Qui consacre cette chaîne débile
Et puis les différentes chaînes radio
Un dénominateur commun, rendre barjot
D’une mosaïque de mensonges
A des nationales qui vous précipite dans le songe
A un express qui en rajoute de déconsidérations
A un soleil « shems » des hyènes qui porte bien son nom
N’oublions pas les autres média tout azimut
Option spéciale, l’art de la culbute
Des mensonges plein l’horizon
Des vérités trucidées à l’unisson
Une liberté d’expression on dirait du radotage
Une stratégie commune les tollés et l’embobinage
Des journaleux mercenaires se vendant au plus offrant
Ayant assimilé l'avilissement et l’inconsidération
Pauvre nation trahit par ses enfants
Qui se font tout petits, ne pouvant être grands
Il n y a plus que la médiocrité qui ravive
Ce pays part vraiment à la dérive
34°
25°
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