رئاسة الحكومة تنفى استعدادها للإستقالة فور انطلاق الحوار الوطني

<img src=http://www.babnet.net/images/9/Kasbah-Kassus.jpg width=100 align=left border=0>


باب نات - نفت رئاسة الحكومة اليوم السبت 28 سبتمبر على لسان مستشارها الإعلامي عبد السلام الزبيدى استعدادها للإستقالة فور انطلاق الحوار الوطني برعاية المنظمات الراعية .
و أكّد الزبيدي أن الحكومة خلافا لما صرّح به الأمين العام المساعد لاتحاد الشغل بوعلي المباركي لم تصدر بيانا تعلن فيه استعدادها للإستقالة قبل انهاء المسار التأسيسي و تحديد موعد الانتخابات .
يذكر أن وزير حقوق الانسان سمير ديلو صرّح مؤخّرا بأن الحكومة لن تستقيل إلا بعد انتهاء المجلس التأسيسي من صياغة الدستور و تشكيل هيئة الانتخايات و سن قانون انتخابي و تحديد موعد نهائي للإنتخابات .

من جانب آخر أكّدت مصادر مقرّبة من حركة النهضة أن الحركة لم تقبل باستقالة الحكومة فور انطلاق الحوار الوطني و أن الحركة متمسّكة بدورها بتحديد موعد واضح و نهائي للإنتخابات قبل الموافقة على استقالة الحكومة .



و أفادت هذه المصادر إلى أن بيان حركة النهضة التى أعلنت فيه اليوم السبت قبولها بمبادرة الاتحاد تضمّن نفس عبارات البيان الذي كانت أصدرته يوم 24 سبتمبر و الذي وصفته المنظمات الراعية للحوار بالغامض و الغير واضح مشيرة إلى أن موقف الاتحاد هو الذي تغيّر في حين بقيت مواقف حركة النهضة ثابتة .
و في نفس السياق نشر النائب بالمجلس التأسيسي عن حركة النهضة في صفحته على الفايسبوك صورة كتب عليها أن النهضة طلبت منذ البداية التوافق على الدستور و انهاء المرحلة التأسيسية قبل تشكيل حكومة جديدة و لا شيئ تغيّر غير الألفاظ .


Comments


28 de 28 commentaires pour l'article 72038

Lazaro  (Tunisia)  |Lundi 30 Septembre 2013 à 03:19           
Les figures de l'opposition qui veulent s'imposer et arracher le pouvoir à la manière de ZABA ont eu l 'habitude de déserter leur travail pour d'exhiber dans dans l'avenue centrale de bardo et demandent maintenant aux membres de gouvernement de déserter leurs fonctions .......

Mandhouj  (France)  |Dimanche 29 Septembre 2013 à 16:12           
Dialoguer, c’est se connaître, et se connaître c’est vivre en sécurité.
- Le droit à l'opposition est un droit légitime et incontestable. Et la légitimité naturelle de ce droit à l’opposition est inscrite et signée par la révolution et le sang de ses martyrs,
- Le droit a détruire son pays n'existe pas,
- La démocratie n'est pas que des élections transparentes et libres, c'est toute une panoplie des choses:
- Des mécanismes qui garantiront le contrôle démocratique de l'action publique, de l'action des associations, et puis c'est un projet qui garantit la participation de l'opposition à travers la vie nationale. Comment produire ce projet? C'est autour des consensus et des discussions De tous les partis, de toutes les variétés de la société civile,
- La Tunisie passe par une période de construction démocratique, c'est à tout le monde de participer, sans haine ni exclusion,
- Nos médias publics et privés doivent participer dans ce projet en favorisant le débat démocratique. C'est une responsabilité historique,
- Nos médias ont joué un très mauvais rôle, il est temps qu'ils travaillent dans un esprit de maturité démocratique,
- Le dialogue profond est une nécessité. Nous avons vécu plusieurs décennies sans un réel profond et libre dialogue. Depuis la révolution, les tunisiens ont beaucoup échangé, discuté ; il est vrai dans un climat de tiraillement et tous ils endossent la responsabilité. Ce pendant les idées des uns et des autres sont claires, et dans le fond nous sommes tous ‘’en majorité’’ d’accord sur certains fondamentaux qui font société de bien vivre
ensemble ‘’ la tolérance, non à l’extrémisme laïque ou religieux, non au terrorisme, oui au progrès, oui à notre identité musulmane et ses valeurs civilisationelles et universelles’’. Osons le dialogue, c’est osons le progrès, c’est osons les exigences de la démocratie élective, avec le dialogue nous serons davantage capables de se définir dans une Tunisie plurielle au sens de la force du plurielle et non pas au sens de la division,
- Osons la démocratie, osons comprendre les réels enjeux, les rcdistes n'ont pas à retourner au pouvoir, la justice transitionnelle doit TROUVER son modèle d'application, osons un consensus pour la justice transitionnelle.
Ben Ali harab.
Mandhouj Tarek.

Wildtounis  (Tunisia)  |Dimanche 29 Septembre 2013 à 14:05           

بقيت النهضه على عهدها في المراوغة لربح اوقت لمحاولة ننفيذ أجندتها و التغلغل أكثر فأكثر في دواليب الدولة و هي لا تفي بوعودها و هذا هو النفاق بعينه و هو الذي أقر به شيخهم في لحظة من لحظاته القليلة في الصدق و لكنه صدق في النفاق دون غيره !!!
فهنيئا لأهل النهضة بهذا النفاق الموعود !!!


MOUSALIM  (Tunisia)  |Dimanche 29 Septembre 2013 à 12:57           
الحكومة نزلت لتلعب مع فريق الصفر فاصل للعدو حول النافورة وتطالب المعارضة للإمساك بها حتى تستجيب للإمضاء على خطة الرباعية التي كتب عليها -إقطعوا رأس من يأتيكم بخارطة الرباعية بعد أن أمضى عليها -....

3IBROUD  (Tunisia)  |Dimanche 29 Septembre 2013 à 09:14           
Tous les membres du club des zéros fachel, y compris l'UGTT, soutenus par les mass-médias, se sont unis et ont commencé le combat contre le Gouvernement issu d'une ANC élue au suffrage universel :
* des grèves et des sit-in tout azimut pour bloquer la vie sociale et économique ;
* un discours fallacieux pour faire prévaloir la légitimité concensuelle au lieu de la légitimité électorale ;
* des incitations à l'insurrection ;
* l'encouragement de mouvements de contestation, comme aatagni et tamarrod ;
* le blocage des séances de l'ANC, avec la complicité de son Président ;
* le retrait d'élus de l'opposition et le blocage de l'espace public à la Place du Bardo, pour créer des ennuis au mouvement de la circulation dans la capitale ;
* l'organisation du mouvement "départ" ;
* l'organisation, par l'UGTT, de manifestations partout dans le pays pour faire accepter ses contions de destitution du Gouvernement,...
Toutes les tentatives de troubels du Gouvernement ont échoué, ainsi le club des zéros fachel ont saisi leurs dimensions limitées et l'ampleur de leur mouvance dans le pays. Leur porte-parole - l'UGTT, en l'occurrence - essaie de sauver la face en implorant le Mouvement du Parti Ennahdha (MPE), à poursuivre le dialogue, après avoir déclaré que celui-ci "refuse la feuille de route".
Nos craintes, à propos de la démocratie en Tunisie :
- la macrocéphalie politique : un parti géant (MPE) face à des partis microscopiques qui n'arrivent pas à s'organiser pour lui faire un contrepoids, dans l'objectif de l’alternance ;
- les leaders de l'opposition véhiculent la même mentalité d'opposants, qu'à l'égard de la dictature. Il en découle une opposition très peu constructive, pour ne pas dire destructrice. En effet l'Unions des Gangsters Trotskistes Tunisiens (UGTT) a été à l'origine de la fermeture de beaucoup d'établissmements privés, et de désordre dan le pays.
- Ces leaders ont fait prévaloir le politique sur l'économique dans leur discours quotidiens. Cela va de soi ; ils sont des ignares en économie et les lacunes sont moins perceptibles dans un discours politicard.

SOS12  (Tunisia)  |Dimanche 29 Septembre 2013 à 06:20           
الحكومـــــة
هي آلـــــية اقرها الـــمجلس المنتخب ولن تستقيل الا بامره
والكل يـــعلم ان الحكومة القادمة لن تنفع البلاد وستكون
فريسة لــــمعارضــــة مـــتهورة تتـــفلت من الانتخابات
وترفع شعارات معــــادية وتألــــب الاعلام على حكومة منتخبــــة

Guiboub  (Tunisia)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 23:56           
حلو الديزاين متاع الفوت الجديد

Fauxrire  (Tunisia)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 23:01           
Ok

Imed_  (Tunisia)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 22:43           
Très court: Abbassi vient de se faire en..ler. C'est le seul langage compréhensible de nos jours

KENRACH  (Tunisia)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 22:33           
Au nom de dieu depuis quand ces individus tiennent leurs paroles sans énumérer les fois où ils ont trahi leurs engagements. que dieu garde la Tunisie .

Abder50  (Tunisia)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 22:32           
أجرم العباسي في حقّ الوطن وأفلسه و أعمته كراهيته للنهضة فأصبح راعي فتن و ثورة مضادّة لا راعي حوار
ننتظر نهاية إتحاد الشغل و مشتقاته من حمة و داء تونس وكلاب الحجامة و إعلام العار
باي مع السلامة يا غير مأسوف عنكم و لتحي تونسننا العزيزة مكرمة و مبجلة على كلّ تفاهات الأحزاب الحاكمة و المعارضة الهدامة و تحصين ثورتنا واجب و مقدّس

Meinfreiheit  (Oman)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 22:13           
المعارضة رغم حجمها المجهري تركب حنير الاتحاد لفرض خياراتها على الحكومة و الشعب ,,,,,

Mandhouj  (France)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 21:24 | Par           
@ Karimyoussef:
Vous avez raison.
Le deuxième commentaire résume le premier.
Thaya tounisna.
Bon combat et bonne soirée
Weldlbled.

TheMirror  (Tunisia)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 20:44           
Hassine Abassi a échoué à mobiliser la rue, alors il revient supplier Ennahdha pour lui fournir une porte de sortie.

Karimyousef  (France)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 20:34           
@mandhouj.
je suis un peu surpris de vous voir faire des commentaires si longs.
je crois il faudrait etre plus synthetique pour etre lu sinon vous rediger une tribune.
cordialement.

Ronin  (Tunisia)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 19:21           
L'UGTT et les rats RCDistes perdent la partie. Les causes sont l'échec des protestations et la pression américaine. Les américains réalisent enfin que les tunisiens sont de loin plus intélligents que les égyptiens et qu'ils ne permettront jamais le retour de la dictature. Fin de la leçon.

Dorra  (Italy)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 19:18           
Dans la constitution idéologique des frères musulmans , il n' y a pas de place pour une alternance pacifique du pouvoir. Les ikhwan ne laissent le pouvoir que par la force. Regardez l'exemple de Bachir au Soudan, il est entrain de faire des boucheries contre son peuple aprèsavoir ruiné et divisé le pays. Morsi en égypte est passé du palais présidentiel au trou dans le palais de Torra après avoir provoqué des centaines de morts. Les ikhwan de
ennahda ne laisseront le pouvoir qu'avec la force , rien à faire l'islam politique a toujours résolu les problèmes du pouvoir que par le sang etla violence.
Ces islamistes ont été votés pour un an ils veulent rester pour l'éternité.

Atefabouyasmine  (Belgium)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 19:17 | Par           
لن ااااااقبل ,هذا ما يجب قوله لهذا الرباعي
فهم الان يردون العودة الى طاولة الحوار بعد ان ثبت بالمكشوف فشلهم في الانقلاب على
الشرعية, فأنا انصح الحكومة والترويكا بمواصلة الطريق, و على مجلس التأسيس
ان يعقد جلسة عامة اول يدعو فيها النواب المنسحبين للعودة الى
المجلس في غضون 24ساعة و ان لن يستجيبو فيجب
انعقاد جلسة عامة خارقة للعادة تصدر في حقهم الأبعاد و الإقالة النهائية .

TheMirror  (Tunisia)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 19:05           
Les quatre conditions incontournables

Pour envisager la démission du Gouvernement, il est impératif, indispensable, obligatoire et vital de remplir au préalable, les quatre conditions suivantes :
• Adoption définitive de la Constitution,
• Mise en place de l’ISIE,
• Adoption de la loi électorale
• Fixation de la date des élections

Si le Gouvernement démissionne, pour une raison comme pour une autre, avant l’observation de ces quatre conditions, toutes ensemble, cela signifierait que la troïka a cédé aux putschistes, et cela veut dire aussi que la troïka ne mérite pas le Pouvoir et cela veut en plus que la troïka a trahi le peuple. Auquel cas, nous, c’est-à-dire les dix millions de tunisiens, descendrons dans la rue pour remettre la légitimité en place. C’est clair, c’est
net, c’est précis.

Mandhouj  (France)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 19:02 | Par           
Le grand dialogue et le large consensus.
Pendant des longues décennies de dictature la Tunisie n'a pas dialogué.
Après la révolution, les tunisiens n'ont pas pris le temps de dialoguer. Ils se sont précipités dans un choix ''la democratie élective'' croyants proteger la révolution. Sauf que ils n'ont pas assumer les résultats des élections. Ils sont plutôt rentrer dans un tiraillement et dans la confrontation. À mon sens, malgré tout, ce grand dialogue sur les fondamentaux d'un état civil, démocratique s'est fait dans ce climat à degré élevé. Actuellement tout le monde ou presque est d'accord sur l'essentiel. C'est la Tunisie qui a gagné. L'actuelle manche de dialogue autour la finalisation de ce dernier quart d'heure de la transition, ne servira que la Tunisie, sa démocratie et son développement.
Continuons ensemble, le vivre ensemble ne peut être que collectif.
Ben Ali harab.
Mandhouj Tarek.

Soussien  (Tunisia)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 18:55           
Ce qui parait bizarre est que le gouvernement démissionne pour laisser libre champs au nullard Abbassi , aux avocats RCDistes ,à l'Utica vendue à B.Ali et à la ligue des droits...domptée par l'ancien régime et aller directement à la potence . La légitimité doit persister pour conclure la constitution et aller aux élections chose qui donne la diarrhée à l'opposition qui ne croit jamais à ses chances et surtout les frères de Jean Luc Mélenchon
et les adeptes de Karl Marx .

Dagbaji  (Tunisia)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 18:45           
ان كانت النوايا صبية فالمطلوب بيانا واضح من الرباعية والنهضة ويا ليته يكون مشتركا بينهما حتى تزول الشكوك ففي الديمقراطيات هكذا تعالج الامرور

Abder50  (Tunisia)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 18:28           
ليست لدينا أدنى ثقة في اتحاد الخراب و لا في إعلام العار و كلاب ليلى لأنهم سفهاء
النهضة المتراخية لم تصنع لنا حكومة ثورة وأذلّت منخرطيها و جزءا كبيرا من الشعب بسبب ضعفها حينا و تردّدها أحيانا
يا أحرار تونس حان وقت فعل الحقّ و صدّ عدوان التجمّع وسدّ أيّ منفذ لعودة الاستبداد فالقصبة 4 أجدر بالثوار من الصّمت و مراقبة الوضع والترقّب السّلبي لأنّ الأيدي المرتعشة لا يمكنها المحافظة على الثورات

Lahache  (Tunisia)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 18:23 | Par           
J essaie d imaginer un peu le scénario (qui a fait plus d un heureux anti ennahdha donc des + /- anti lois islamiques) : le gouvernement démissionne et le quartier s assoie sur la table ronde ( table bien ronde cette fois ci pour pouvoir la pivoter gauche droite gauche gauche sans entrave), et commence ainsi à diriger le pays,. Bizarre?

Hilda  (France)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 18:22 | Par           
Test

Kairouan  (Qatar)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 18:12           
الإتحاد بعد أن فشل في المسيرات الشعبية التي دعا إليها يريد حفظ ماء وجهه بالإدعاء بأن النهضة قبلت حلّ الحكومة فور بدء المشاورات

Mandhouj  (France)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 18:06           
L’accord autour de la feuille du quartette, et l’échec de la démocratie élective,
Peut-on parler de l’échec de la démocratie élective en Tunisie, comme processus à la nouvelle construction démocratique, que la nouvelle Tunisie ‘’la Tunisie de la révolution’’ s’est engagée depuis le lendemain de la révolution à le bâtir ?
Franchement, non, on ne peut pas parler d’un échec, ni de correction de trajectoire.
La récente démocratie élective tunisienne était réfléchie pour qu’aucun parti ne soit/sera dominant.
La démocratie élective puise sa force dans des profonds consensus autour du modèle sociétal, politique, culturel et économique que la nouvelle Tunisie souhaite le mettre en projet (progrès, émancipation, démocratie, ouverture de sens sur le monde, état civile moderne avec tous les mécanismes de contrôle démocratique des politiques publiques, et aussi des actions de la société civile, efficacité économique, vivre ensemble en tolérance et
intelligemment, développement de nos territoires, et que toutes ces choses/valeurs/rêves/aspirations légitimes se penseront dans le cadre de nos grandes références révolutionnaires ‘’les objectifs de la révolution’’ et dans les fondamentaux de nos valeurs civilisationelles partagées et de la modernité).
Il est dommage que l’opposition ‘’surtout le PDP de l’époque’’ n’a pas accepté de gouverner avec la troïka. Mais rien n’est à regretter pour la Tunisie. Notre pays avait besoin de cette confrontation. Notre pays ne pourra pas produire autre chose autre que cette confrontation. La classe politique (avec toutes ses alliances intérieures et extérieures, avec sa culture petitement petite en expériences démocratiques, avec son socle de référence
idéologique, très présent dans ses positionnements) ne pourra pas offrir à la Tunisie autre chose que plus plus d’alliances sur les exigences de l’FMI, la banque mondiale (…). Oui la Tunisie a souffert avec ces confrontations. Oui la souffrance est économique. Oui la souffrance nous a été imposée par nous-mêmes, par notre capacité de mélanger politique et syndicalisme. Mais tout cela n’est pas un crime, il est juste notre niveau.
La Tunisie depuis la révolution, est-elle était capable de faire comme si la contre révolution n’existe pas, pour qu’elle avance considérablement dans les objectifs de la révolution ? Dans le processus de la justice transitionnelle ?
Ma réponse et non.
La Tunisie était et est en proie de tous les envies, et du niveau modique et médiocre de sa classe politique.
Le gouvernement de la troïka avait-il la possibilité de faire court, rapide, mieux et efficace ? Non la tunisie est un pays qui dépend des exigences internationales et des enjeux des alliances sur la seine nationale et dans le monde. Notre diplomatie pendant le gouvernement Jebali, a beaucoup souffert. Il ne s’agit pas de question d’incapacité, non il s’agit des conséquences de changement de cap, à cause de notre révolution. Nous étions attaqués,
ok. On aurait pu limiter certains dégâts. Mais je pense rien n’est à regretté, les tunisiens se sont rendu compte de plusieurs choses. Notre diplomatie actuelle essaie de remettre certaines choses (choix, orientations sur des voies sures. L’effort il existe, mais les attaques se multiplient.
Le gouvernement Jebali avait-il le dernier mot ? Non, mais le 1er ministre, dans son erreur de gouvernement de technocrates, le peuple a su éviter la descente à l’enfer (la dissolution de l’Anc,…).
L’actuel gouvernement avait-il l’occasion et l’opportunité de faire mieux de ce qu’il a fait ? Vu ce que j’ai avancé au début en matière de construction politique et idéologique de nos partis politiques, ma réponse, et non, il n’avait pas d’autres possibles choix. Notre réalité est conditionnée par une panoplie d’intérêts, qui nous dépasse.
Les décideurs tunisiens (le gouvernement de la troïka et les trois partis en additionnant leurs alliances) ont-ils évité à la Tunisie une descente à l’enfer, à chaque fois que des séquences se sont présentées pour pousser le pays dans l’anarchie et la guerre civile. Oui, le gouvernement avec le soutien populaire, a pu éviter à la Tunisie, la descente à l’enfer.
Alors l’actuel accord sur le dialogue national, quel issu offrira t-il à la Tunise et à sa démocratie élective ?
Pour moi, ce dialogue ne mettra pas en cause les résultats des élections du 23 octobre 2011.
Ce dialogue sera un levier pour accélérer la période transitoire.
Ce dialogue aidera l’opposition de croire plus plus en le bon choix de la démocratie élective.
La voie des urnes est une voie sûre du moment ou les fondamentaux politiques sont écrits solennellement dans la constitution.
Que restera t-il pour les objectifs de la révolution ? Que restera t-il de la justice transitionnelle ? Est ce qu’avec ce dialogue on gagnera une réconciliation nationale ?
Les objectives de la révolution (dignité –liberté-travail), se travailleront sur le temps et ils seront les références en continu pour tout programme politique des partis et des gouvernements successifs.
La justice transitionnelle trouvera son modèle d’application. Je suis certain.
La réconciliation nationale se gagnera, malgré tout, tant que la démocratie, le pluralisme politique, le pluralisme d’idées, le pluralisme culturel seront garantis dans la constitution et dans les pratiques des gouvernements, fur et à mesure du temps.
Du moment où on pense que la démocratie n’est pas que des séquences électives (libres et transparentes) qui se vivent un jour tout les 5 ans, mais plutôt une volonté de ne pas s’emparer de la décision nationale, et que le tout et concertation, négociation, échange d’idées et d’avis. La Tunisie trouvera sa route sûre dans la volonté de ses enfants à aller droit vers la démocratie la démocratie la démocratie. Et c’est par la démocratie que la mise
à mort des solutions globales, universelles, expéditives sera confirmée. Et encore une fois, par la démocratie on gagnera le progrès et le développement, donc les objective de la révolution.
Ben Ali harab
Mandhouj Tarek.

Swigiill  (Tunisia)  |Samedi 28 Septembre 2013 à 18:00           

بعد ضغط امريكي هرول العباسي لتطبيق الاوامر هذه هي الحقبقة


babnet
All Radio in One    
*.*.*
Arabic Female