La violence a commencé par les agressions verbales sur les plateaux des tv par les journalistes et aussi par des pseudos politiciens qui parlent comme des voyous comme des délinquants et qui s'adressent à tout le peuple tunisien. il faut faire une audit dans ce sens pour recenser ces cas et commencer d'abord à arrêter ce flux dans nos médias qui incite à la violence verbale qui mène à l'agression physique.

Looooooooooooooool
les incitateurs à la violence appellent à porter plainte contre les inciateurs à la violence ...

Le premier incitateur de la violence c'est les médias et les plateaux télévisés.

Mouatamarad (france) |mercredi 13 février 2013 à 09h 27m||
bonne initiative
- mais aussi il faut aussi revoir les gents qui on recu des rachaoui par le dictateur pour reprimé les tunisiens
- et les pays qui on prix largent du peuple tunisien pour proteger le dictateur
- et les tunisien qui on volés largent et quil on cachés dans les banques etrangeres un peu partout dans le monde et il l'etulise pour reprimé le tunisien libre
- et les credits qui a prix le dictateur et les a deplacés a letranger hor que aujourdhui on doi remboursé
- et les pays qui on soutenus le dictateur et qui reclame aujourdhui ses dettes
et le pauvre tunisien paye pour tout ca
maleureux le cityoens qui subit cette injustices bien organisé
on doi pas pays pour les autres surtout les dictateurs de 1956 a 2011
il faut trouver la solution

Belle initiative pour ces dérives dangereuses ces pacifistes intellectuels il faudrait franchement commencer a dénoncer les anciens sbires de la plume partisans du dictateur et qui mangent a tout les rateliers , spécialistes de la propagande, cachetiers des vérités, non transparence chronique dans leurs veines et la on peut avancer dans la sérénité de l'information

Mais , ce sont les journalistes qui sont les 1ers incitateurs à la violence .

le leader des stratèges , mshben1 .

Merci mon dieu divin!!!
notre pays commence à retrouver le bien fondé de sa révolution: la liberté et la dignité. point à la ligne.
plusieurs égarés se sont réveillés. vaut mieux tard que jamais et bravo si jbeli. hélas, il a fallu des sacrifices pour nous faire ouvrir les yeux. (r.i.p. c.b. et agent z.)

- effectivement notre intelligencia est rarement violente, contrairement à plusieurs de la droite bleue, juste à lire certaines ripostes...ca donne la chaire de poule. on s'attaque souvent à la personne physiquement ou verbalement quand on est à court d'arguments convaincants...

- de quel droit , on se permet d'enlever une vie humaine innocente ou d'inciter les autres à le faire directement ou indirectement, de l'intérieur ou de l'etranger? nos lieux du culte seraient-ils devenus des bases militaires pour le planifier le jihad contre les koffars? koffars qui ont le meme sang que vs.

- anekdone: un de mes cousins est devenu imam à marseille. un imam salafiste qui ne jure que par wajdi ghounim. il n'avait même pas été au secondaire et mon oncle avait réussi à lui trouver un visa, je ne sais pas comment on l'a endoctriné et a fini ainsi... cette semaine, il donnait des conseils et faisait des critiques deplacées à l'égard de la professeure universitaire olfa youssif, une femme brillante et un de nos esprits libres vifs et
saints.

-question à ceux qui pronent la ligne dure: que réservez vous à votre voisin, tunisien comme vous, mais laïque: croyant mais ne fait pas ses prières, ne fait pas le ramadan, consomme de l'alcool et fume. cependant ce voisin est gentilman, poli, généreux, ne fait aucun mal, aide les autres et vit sa vie paisiblement??? allez vous le tuer? allez vous l'emprisonner? et pouruoi? et pourquoi son mode de vie vs dérange?
ce même voisin laïque , cependant, respecte votre mode de vie de religieux pratiquant, sans ingérence.
notre tunisie se doit d'être notre terre à tous peu importe votre idéologie, un lieu d'ouverture et de tolérence, majorités et minorités. et on y arrive tranquillement.
bonne nuit.

Les intellectuels de ben ali et les journalistes novembristes ont aujourd’hui la diarrée dans leurs culottes. ils savent bien que le gouvernement de technocrates ne va plus accepter leurs manigances, leurs mensonges et diffamations. il va leur taper sur la tête chaque fois qu’ils cherchent à manipuler l’opinion publique. zied el hani, sofiène ben farhat ont déjà vécu la petite médecine pour leurs grande mensongères. ce qui leur fait peur
encore, c’est la présence de rachid ammar à côté de m.jebali lors de la réunion avec le conseil des sages. cette présence leur coupe les herbes en dessous des pieds. je crois que leur caïd essebssi a mal digéré de voir l’armée en faveur de la légitimité des institutions issues des élections. en bref, je souhaite que cette bande de brebis galeuses(bce, dai tounes, les journaleux et les intellos benalistes) qui appelle à son secours la france,
laquelle est toujous prête pour soutenir les contre-révolutionnaires, soit mise hors de nuire très prochainement.

Un avenir collectif est possible en tunisie, si…
un avenir collectif, c’est une question des choix, des moyens et des frontières souples ou rigides, comment réussir le dépassement ? voila une réflexion, qui mérite d’être lue même si elle manque de construction en terme (d’un texte). le phénomène salafiste qui tend à la violence, le phénomène de l’actuelle violence urbaine elle-même et qu’on vit depuis la fin du régime de la dictature, surtout par ce moment de tiraillement politique, sous
tutelle de différentes utopies, ou analyses dites pertinentes. la violence est une résultante de plusieurs choix politiques, économiques et model de société choisi et imposé par la puissance d’un pouvoir sans partage. et là on tend de la plus belle dans des niveaux de violence et appels à la violence sans estimer les conséquences.
1-où la violence politique tend au chaos, l’appel à la grève général le mois de décembre 2012, par moment de réalité sociale et économique proche de chaotique, et surtout pendant une période poste révolutionnaire, qui invité plutôt à la solidarité et au travail, le comble, est qu’on est politiquement dans une légitimité par les urnes, et en période de rédaction d’une nouvelle constitution (autres et nouvelles règles et
valeurs partagées), 2- où la violence épouse l’irréparable, la liquidation physique. et là, le plus inimaginable pourra être proposé, la liquidation de l’anc. on oubli le crime, et tombe dans le politiquement incorrecte, et même anti révolutionnaire.
l’assassina de chokri belaid, n’a pas eu sa part de réflexion, et le peuple souhaite avoir la vérité. devant ces violences on ne peut pas être (c’est un discours pour rassurer l’étranger ou demander l’aide à l’étranger, ou pour faussement minimiser le phénomène (là je n’accuse personne), ou pour s’empêcher de voir la source du problème dans l’absence d’une alternative
économique et culturelle qui répondra aux exigences du changement d’une société gouvernée longtemps par la dictature vers une société gouvernée par la vérité des urnes). la secousse à laquelle on eu droit les tunisiens aujourd’hui est énorme.
le phénomène salafiste est un phénomène d’époque où injustice sociale et disparités territoriales font partie du réel, du vécu, donc palpable, mais aussi il fait partie des conséquences graves de confrontation entre les civilisations voulu par le système mondialiste à gendarme unique, il fait réalité comme réponse à une longue époque de tyrannie à sens unique, empêcher l’émancipation de l’individu qui fait citoyen.
les violences urbaines actuelles sont une résultante à plusieurs vérités qui font réalité, l’incapacité de l’état de reprendre totalement sa place du gendarme sécurisant dans la société,
3- la violence apportée (déclarée haut les mains par le chef de l’exécutif, envers le gouvernement des politiques, et qui est interprétée comme violence envers l’anc.
et là tout les commentaires sont permis, car par moment de violence (des violences), l’individu se défend ou il se réjouit d’avoir trouvé une solution, paraître solution,
l’urgence actuelle est de répondre par la rapidité, sans tomber dans la précipitation, par la priorité, est la priorité aujourd’hui est de former un gouvernement qui épouse/propose/ par des solutions contre les violences sociales, politiques, économiques, les violences urbaines, les violences/menaces terroristes…,
l’assemblée des sages arrive, dans l’attente d’un gouvernement des réalistes, je vous laisse lire la suite qui n’est pas une solution d’urgence mais une construction, donc ça prendra du temps.
l’alternative c’est une autre société où se conjuguent liberté, justice et développement, le tout dans un espace-temps où se conjuguent également aussi respect et émancipation et solidarité. la tunisie doit se pencher sur son projet jeunesse en mettant fort l’accent sur l’éducatif, le culturel, l’apprentissage de la création et de la critique (l’esprit critique), de l’inventivité, de l’ouverture sur l’autre, ainsi on gagnera en démocratie, en
émancipation, en développement, par conséquence en vivre mieux et bien ensemble.
nous avons vécu durant des siècles où c’est la place sociale qui a décidé de l’avenir des enfants (des jeunes) (capital économique, culturel, symbolique), on avait alors plusieurs jeunesses. l’etat de l’indépendance, qui s’est voulu providence, donc responsable du tout (éducation, logement, santé, culture…), ne nous a pas offert une société de respect et où urbain et rural se joignent par le biais du développement et de la réussite des
générations.
l’offre (culturelle, sociale, économique, en éducation, en droit à la mobilité) de cet etat de l’indépendance était déséquilibrée et à sens unique (garantir une belle image au pouvoir à l’étranger et une belle place sociale à la bourgeoisie gouvernante et ses alliés) suivi, en plus par la dictature politique et la favorisation des espaces d’activités et d’investissement d’intérêt mafieux. on a perdu en développement, on a perdu en justice
sociale et en justice tout simplement.
l’etat de l’indépendance a falsifié fre culturelle, fre de développement et elle a trompé le peuple par fre en liberté et en dignité (évidement le tout n’est pas noir, mais le tout est déséquilibré, d’un territoire à l’autre, d’un espace à l’autre), même à l’étranger les tunisiens n’étaient pas égaux. on avait alors plusieurs jeunesses et pas qu’une seule société, et ce n’est pas que le déséquilibre en équipements et en
infrastructure qui ont décidé, le mal est plus profond.
le 17 décembre 2010, le symbolique, intervient pour réunir un peuple contre un dictateur spoliateur. le 14 janvier 2011 on gagne en liberté et en pluralisme. le défit démocratique s’impose (comment organiser tout ça?), à nous de le construire et de le gagner.
la place du culturel, du savoir, de la justice sociale, du degré de savoir faire, du niveau de misère de chacun, et du type du modèle de développement adopté et qui a produit des effets propre à l’injustice, décideront du niveau d’ouverture sur l’autre et de niveau de disponibilité de chacun au débat dans la société. le chemin parcouru en développement et en justice sociale décidera des apports et des limites de nos avancées en démocratie, en
sécurité et en pluralisme qui seront réalisées dans le sens d’un progrès social, humain et historique collectif.
donc, c’est à nous de faire le bon choix politique. cette nouvelle époque qui s’offre à nous doit nous mener à travailler ensemble sur les éléments et les mécanismes qui ont fait rupture du lien social et du lien politique entre etat & peuple, entre citoyen & politique, entre territoire & territoire, entre masse & culture, et creuser les écarts entre les classes sociales et provoquer les fractures (sociale, culturelle, énergétique, numérique et
informationnelle …).
les mécanismes de la casse sociale consacrés par la dictature durant plus d’un demi siècle ont eu plusieurs axes d’action (culturel, politique, économique…) afin d’établir des frontières rigides entre les personnes et les groupes et garantir au régime sa propre belle vie. toutefois, c’est à nous de mettre les moyens et de dépasser les frontières. le sécuritaire n’a de sens que quand il y a dégâts (…), trouble public et menaces sérieuses et bien
identifiées. on ne ressoude pas le problème, les violences produites, par des idées extrémistes (d’extrême gauche, d’extrême droite, sur fond religieux), qui n’admettent pas l’ouverture, ni le pluralisme et ni la démocratie par le sécuritaire, mais nécessairement on a besoin de la sécurité, c’est à nos politiques de faire les bons (le bon choix) choix et d’être constamment présents par les moyens de l’etat (c’est le sens de notre délégation
de pouvoir et l’objectif de notre choix libre et éclairé en servitude volontaire).
faut-il rappeler que les moyens de l’etat ne sont pas que les moyens régaliens (police, justice), c’est aussi les moyens de l’etat providence (moyens en culture, santé, loisirs…). la révolution du 14 janvier n’est pas pour travailler sur l’artificiel, par conséquence, cette révolution n’est pas aussi pour le bénéfice d’une élite, ou nouvelle élite, elle est la révolution de la dignité (pour l’urbain et le rural) et elle n’est pas pour la cause
d’une couleur ou d’une odeur, le jasmin, c’est plus significatif que cela, il s’agit de la légitimité, tout simplement la démocratie et l’intérêt général. ben ali harab. mandhouj tarek.

Il ne faut pas oublier la violence verbale sur les plateaux des médias qui est la source de toutes les violences s'il contenue on vas directement vers une guerre civile,les tunisiens sont pacifique mais ceux qui skouatent les plateaux sont entreint de remonter l'un contre l'autre

Ben il était vraiment temps pour que les intellectuels aient leur mot à dire!!!!!
et quand on dit intellectuels on sait de quoi on parles...

En réalité ce sont eux-mêmes qui incitent à la violence.

Lutter contre les appels à la violence et punir de nombreux pays l'adoptent ainsi que plus de sévèrité pour les insultes.les citoyens ne se sentiront pas au dessus des lois,tous les coups ne sont pas permis c'est création de desordre.