@tounsi_mestiri
bien dit c'est sa la différence entre un sale nahdaouiste et un tunisien pure.. les nahdaouistes parlent de regionalismes, de musulmant et keffer .. il regardent que les difference
mais les tunisien voit tout les tunisien de meme niveau

@tounsi_mestiri

barres toi: les monastiriens te rejettent tout simplement parce que tu ne dois pas parler en leurs noms.

les monastiriens respectent beaucoup cheikh ellouz et lui souhaitent le bienvenu à n'importe quel moment.

Bravo cheikh rached. vous avez montre un grand savoir et une grande moderation.ej pense sincerement que c est un grand coup de maitre....

Alors que le pays a besoin de 2 milliards d'euros pour retrouver un semblant d'équilibre financier, le cheikh rached nous berce d'histoires à dormir debout !

Est ce que le cheikh a une culture économique et financière ? sait il réellement quels sont les vrais blocages économiques du pays ? connaît il le niveau d'efficience du secteur publi ? ou est ce que c'est c'est seulement un grand orateur mystique ?

Royal

Je dit a ( tounsi mestiri ) : la vie roayel est fini tout les tunisien son les memes et c pas vous de jugez qui est tunisien ou non

Interview très rassurant et très convainquant

Je dis a ellouz de ennahdha,
ne met pas les pieds a monastir
tu ne merite pas a etre tunisien, tu insulte toute une region, et tu nous a convaincu que tu ne connais rien de l´islam sauf ta barbe, aller reviser tes connaissances.
quelle honte a toi et a tes maitres qui portent dans leurs coeurs la haine et le mepris

Il reste maintenant de confirmer au sein du destour "majjalat al ahoual achacksia" afin que les droits de la femme entunisie ne constitue plus un sujet de discussion a l'avenir par des eventuels attardés mentaux frustrés

Le cheikh rached me rappelle mon père dieu ait son âme, d'abord physiquement et puis parce qu'il est très cultivé, sait un tas de chose, est très paternaliste et affectueux mais au bout du compte n'est pas forcément très utile. avec les déclarations sur le mali et les risques pour la tunisie du secrétaire d'état aux affaires africaines, les très nombreux fraits divers quotideins et la focalisation du cheikh ghannouchi sur les questions
eligieuses alors qu'il se montre dans de nombreux discours très libéral sur la plan économique comme si on pouvait travailler sérieusement dans les conditions que connaît le pays. en fait, nous gouvernants sont en train de s'installer tranquillement et s'organisent pour une installation durable ! ne nous-ont-ils pas libérés d'un dictateur ? ce dictateur ne nous a-il pas libéré d'un président sénile et d'un islamisme menaçant ? le président
sénile nous avait-t-il pas libéré du colonialisme ? les colons ne nous ont-ils pas protégé de la faillite et de la menance de tribus barbares venues d'algérie ? les ottomans ne nous ont ils pas libérés des croisés ? par itération, les prochains à occuper le pouvoir, dans 5, 10 ou 20 ans viendront nous libérer de nos actuels gouvernants !

Ennahdha ne pouvait pas faire autrement mais il faut cependant dire que c'est sage de leur part que d'avoir pris cette position.
le problème qui se pose c'est celui des salafistes qui sont appuyés par les "mkachtines du khalij" et qui pourraient déraper.....

Bien dit si rached,l'union des tunisiens et bien sacré.

en reste fidèle à annahda.

La tunisie 1959, 2012, le passage révolutionnaire et l’acquis majeur. l’article 1 de la constitution de 1959 est arrivée sur notre constitution pour éviter une grande cassure entre le leadeur bourguiba et son entourage politique d’un côté et la famille de la zitouna de l’autre côté , bourguiba après a fait ce qu’il a fait (on est pas là pour refaire l’histoire), n’empêche que l’acquis est là et
il a vécu jusqu’ a la révolution de 14 janvier, aujourd’hui ce même article s’il sera à nouveau inscrit dans la nouvelle constitution il sera dans une logique d’unir le pays et non pas d’éviter la cassure et la rupture avec certaines tendances idéologiques (religieuses ou laïques), on est alors devant une victoire sans appel du peuple et de son identité (voila pour faire cour), pour le débat autour de la charia : moi je pense que le débat autour
de l'inscription ou pas du la charia comme référence de législation dans la constitution, est un faux débat, car le référentiel pour légiférer n'a été et ne pourra être que universel dans tous les pays démocratiques, il suffit de lire l'histoire de la place des référentiels pendant la vie du prophète ou dans les écoles malékites et autres. l’inspiration du législateur été toujours à travers une multitude des références (la réalité, le
contexte, l'existant, la jurisprudence des anciens, des autres...), donc la charia trouvera sa place par la force de la chose (la tunisie est un pays musulman, ce par la nature de l’appartenance aux valeurs de l’islam que le législateur s’inspire par nature de l’héritage juridictionnel musulman). et toute loi qui tient au bien être de l'individu et du collectif est une charia, qu'elle soit d'origine romaine, française poste révolution 1798,
ou une jurisprudence d'un khalife ou un texte dans le coran... en plus plusieurs versés du coran rappellent la place de la juridiction ancienne dans le référentiel du juge musulman, ce débat fausse le débat politique (autour des exigences du moment et de tout moment : (développement, justice sociale, sécurité, démocratie…) dont la tunisie a besoin. apres la révolution du 14 janvier la notion de elmakassids acharia doit trouver du sens autrement
que pendant l’époque de la tyrannie et de la spoliation. tout législateur qui ignore les objectifs de la révolution et essaie d’introduire des mécanismes tyranniques dans la loi suprême (la constitution) ou dans les lois ordinaires joue et jouera avec le feu.
et avec l’article 1 de la constitution de 1959 nous gagnions deux acquis fondamentaux, un acquis constitutionnel qui est hautement juridique : (que l’islam est la religion de la tunisie), et un acquis politique qui est aussi hautement juridique par son inscription dans la constitution qui est le type du régime politique (républicain). ces deux acquis préserveront fortement nos acquis sociaux économiques en matière d’égalité femme/homme, des
droits démocratiques qui sont le cœur et le sens de notre révolution… maintenant il faut que les constituantes et les constituants avancent dans l’écriture des autres articles et les rédiger , il s’agit des mécanismes du pouvoir des institutions (présidence, gouvernement, parlement, hautes cours…), bon travail. félicitation à la tunisie. et merci à l’intelligence tunisienne.