il n`y as pas qu`a Tunis ,a el manar , marsa , Sousse , en conclusion dans toutte la Tunisie c`est le meme cinema pourquoi ca et surtout l`ete avec les bouteilles en plastique c`est insuportable /qui a la solution en mainNombre de Tunisiens semblent n’avoir qu’une idée en tête, se débarrasser de leurs déchets le plus rapidement possible et laisser la ville s’en charger. Après moi le déluge!
Dépotoirs improvisés ou sauvages dans n’importe quel terrain vague ou propriétés en ruine; des sacs éventrés éparpillés sur les trottoirs ou en bordure de la rue; des amoncellements de déchets dans les endroits les plus inusités. Les exemples ne manquent pas lorsqu’on marche ailleurs que sur l’avenue Habib Bourguiba. Un ou deux coins de rue suffisent amplement pour voir les chats se régaler autour des déchets de la veille, Félix grignotant tranquillement les restes du poisson de madame. Pour le psychologue du travail et professeur de psychologie à l’Université de Tunis, Walid Loukil, ce comportement s’explique par plusieurs facteurs, mais plus spécifiquement par ce qu’il appelle lui-même « une idée restrictive de la propreté » entretenue par le Tunisien. « C'est-à-dire qu’il est très propre de sa personne, se lave plusieurs fois par jour. Idem pour sa maison, toujours très bien tenue à l’intérieur. Devant sa porte aussi c’est habituellement très propre », dit le psychologue. « Mais dans la rue, ce n’est plus chez lui, ce n’est plus son domaine, donc il arrête de se sentir responsable des déchets qu’il y jette », explique M. Loukil. M. Ridha El Meksi est le directeur de la propreté de la ville de Tunis. Il est un peu découragé de cette situation. « Les habitants de la ville n’ont aucun respect de la rue. Ils sortent les déchets n’importe comment ou en dehors des horaires prévus. C’est très difficile de les contrôler », explique-t-il Le plus choquant dans tout ce qu’on peut voir comme horreurs à Tunis, est certes la prolifération des dépotoirs sauvages. Ce sont ces petites décharges, qui commencent bien souvent par un sac de poubelle et qui finissent en montagne de déchets. Les gens continuent à y entasser leurs déchets et personne ne vient les ramasser. C’est ainsi que l’on se retrouve, en plein cœur de Tunis, avec une situation hautement dangereuse pour la santé publique et de manière plus générale, l’environnement. Et ce, dans l’indifférence populaire la plus totale. M. Ridha El Meksi raconte cette anecdote un peu triste : « Nous avons vu un terrain clôturé, sur lequel il n’y avait pas encore de constructions, devenir un véritable dépotoir. Les habitants de logements bordant ce terrain y lançaient leurs déchets ménagers par les fenêtres », explique-t-il. « Quand ils en ont eu assez de la puanteur et des inconvénients que cela a engendré, ils ont appelé les autorités de la ville pour qu’on vienne nettoyer le tout. Sur place, la puanteur était écœurante, les déchets, là depuis des années, avaient, depuis longtemps, commencé à se décomposer. Quand on eut terminé de nettoyer ce terrain et de reconstruire la barrière, les gens ont recommencé à y lancer leurs déchets…», explique-t-il, l’air défait.
moi qui vie en Australie vraiement il y a une tres tres grande difference et cela montre que l`ont ai 100 ans en arriere sur la propretee du pays.