Chaque emprunt se monte à 200 millions de dollars (environ 320 millions de dinars).

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Selon le rapport de la Commission parlementaire concernée, le premier crédit est réservé au financement des projets publics prioritaires dans le domaine de l'infrastructure: secteurs de la santé, de l'enseignement, de l'eau, de l'énergie et du logement social.
Cet emprunt est remboursable, en deux tranches égales, sur une période de 6 ans, dont deux ans de grâce avec un taux d'intérêt annuel fixe de 1,5%.

Pour ce qui est du deuxième crédit, il est destiné au financement des opérations d'acquisition d'équipements et d'outils d'origine turque, ainsi que la réalisation de projets prioritaires dans les deux secteurs public et privé.

Le gouvernement turc s'est engagé à réduire le taux d'intérêt relatif au remboursement de ce crédit de 3,5% à 1,5%, en promettant de payer la différence entre ces deux taux d'intérêt.

A cette occasion, le secrétaire d'Etat auprès du ministre de Développement et de la coopération internationale, Noureddine El Kaabi, a mis l'accent sur l'importance de ces deux prêts dans le financement de la croissance économique et l'impulsion du développement dans le pays.