عبد اللطيف المكي: النهضة تخير وزارتي الصحة والشؤون الاجتماعية في حال مشاركتها في الحكومة

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باب نات - قال القيادي في حركة النهضة عبد اللطيف المكي الجمعة 16 جانفي خلال استضافته في برنامج ملا نهار على اذاعة شمس اف أم أنه في صورة مشاركة حركة النهضة في الحكومة فان قيادات الصف الأول لن تكون معنية بالحقائب الوزارية.

وقال عبد اللطيف المكي " النهضة لا تلهث وراء الحكم لكن مصلحة البلاد العليا فوق جميع الأيديلوجيات", مضيفا " هناك بعض الأطراف تريد اقصاء النهضة وهذا دليل على الخلل الذي يعيشه المشهد الديمقراطي التونسي".

وفي اجابته عن سؤال الحقائب الوزارية التي تسعى النهضة الى شغلها في صورة مشاركتها في الحكومة قال عبد اللطيف المكي أن النهضة تسعى الى شغل الحقائب الوزارية ذات الاتصال المباشر بالمواطن.



وتابع عبد اللطيف المكي " النهضة تريد حقيبتي الصحة والشؤون الاجتماعية".




Comments


4 de 4 commentaires pour l'article 98321

Labrados  (Tunisia)  |Mardi 20 Janvier 2015 à 10:00           
@Rafaa
Le Dr Mekki a initié beaucoup de projets de développement du secteur de la santé publique en Tunisie et ce, en faisant participer toutes les compétences du secteur ainsi que la société civile...Ces projets, issues d'une approche participative, ont ainsi touché le Stratégique (Elaboration d'une nouvelle stratégie de santé dans le pays avec la création de nouveau pôles hospitalo-universtaires...la restructuration du secteur etc...) et l'immédiat
(Réalisation de travaux de création et d'extensions de structures hospitalières spécialisées, acquisitions de nouveaux équipements et ambulances etc...)...
Bien sur, il ne faut pas oublier que les mafias qui sévissent depuis des décennies avec le concours des syndicats politisés, ont tout fait pour saboter tous ces efforts et empêcher par tous les moyens l'assainissement dans ce secteur vital, ainsi par exemple, le projet de redéploiement des médecins spécialisés a été saboté par ces mafias et on voit aujourd'hui la souffrance de nos concitoyens dans ces régions défavorisées...

Rafaa  (Tunisia)  |Dimanche 18 Janvier 2015 à 17:25           
تستاهل يا دكتور يا غول أن تعود لوزارة الصحة بما أنك خالفت جميع مواقف عمداء الكليات والأطباء المبرزين...وأغرقت ملف الصحة في الأوحال.
-..ولا ننسى أن الأطباء والطلبة دخلوا وزارتك في مسيرة ليطلبوا تغيير مواقف خرقاء ..فقامت ملشيات وزارتك بضرب أستاذك...وكاد يصبح هو المعتدي لولا وقفة الرجال.
...نعم سيدي ارجع للوزارة فتونس في حاجة إليك والمشاهدون ينتظرون عودتك للتلفزات بشوق يا عبقري

Hamedmeg  (Tunisia)  |Samedi 17 Janvier 2015 à 14:36           
C'est comme si M Mekki demande à M Essid de le désigner comme Ministre de la Santé, comme ça il aura la possibilité de signer d'autres décisions d'achats de fortifiants sexuels autres que celui de la VIAGRA qu'il avait signé au début de sa première nomination à la tête de ce Ministère, il pariait que M Mekki est obsédé de P

Mandhouj  (France)  |Samedi 17 Janvier 2015 à 11:13           
Pensez la vie politique par l'angle ''majorité/opposition'', il n y a pas de plus logique, c'est la démocratie, la démocratie simple et simplifiée.
Après la révolution, nous avons tous pensez une nouvelle Tunisie, du moins, on en parle.
C’est quoi la nouvelle Tunisie?

- chaque famille politique, chaque parti, a sa propre définition/conception à cette, dite, nouvelle Tunisie,
- la chose qui a primé, en regardant, le parcours de la transition, est le consensus. Et c'est à travers un certain consensus, ''fut réussie'' le parcours élective, législatif et présidentiel, mais pas que. Par le consensus la Tunisie a gagné aussi en sécurité, avec un corps de sécurité plus actif, et qui a gagné plus en confiance. Avec ce certain consensus, nous avons su éviter le pire, le cahot.
- je pense que la construction d'une Tunisie pour toutes et pour tous, où l'état devient l'état républicain, qui agira pour renforcer la démocratie, le pluralisme, les libertés, l'égalité des chances, et améliorer le niveau de vie de chacun, ouvrir des nouveaux horizons pour les citoyens ''la jeunesse'' consolider et soutenir les solidarités entre les catégories sociales et les générations, ... ne pourra se penser dans la simple
conception de la démocratie en terme majorité/opposition. Nous sommes amenés par les exigences de la situation sociale, économique, sécuritaire, à travailler ensemble, au moins sur les grands axes des reformes structurelles dont elle a besoin notre nouvelle ''actuelle'' Tunisie.


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