@@@MohamedAhmed ( tunisie ) , bravo , votre commentaire est pertinent ...

L'armée, la police, la protection civile et la douane sont des corps militaires (conformes aux exigences de l'armée) armés qui assurent la sécurité dans le pays. Ils sont structurés, hiérarchisés et commandés par ordres des dirigeants, selon les circonstances. La discipline est donc le maître-mot qui assure le maintien du système. Ces corps possèdent des moyens de transport spéciaux et peuvent faire usage de différents moyens de répression,
dans des cas, pour assurer la paix sociale. Les corps armés représentent la force de l'Etat qui a ce monopole. Cette définition peut sembler gauche pour certains, mais j'en retiens :
- corps militaire ;
- hiérarchisation ;
- structure ;
- ordre ;
-discipline ;
- armes ;
- moyens spéciaux de lutte contre les mouvements de groupes.
Par contre, le syndicat prévoit :
- des revendications de toutes sortes
- la luttes contre le patronat ;
- le droit de grève...
Dans un pays sous développé comme la Tunisie qui est encore loin d’être un pays démocratique par le niveau de ses indicateurs de développement humain (idh), il est hors de question de permettre à ces corps de former des syndicats. Ils risquent de chevaucher sur des questions politiques, ce qui peut représenter des ingérences graves. Ces corps ont le monopole de l'arsenal des armes et des banques de données sur les citoyens. Par conséquent, leurs
missions sont tout à fait incompatibles avec les contestations ; elles (missions) tirent leur essence de la discipline et elles sont basées sur l'ordre et la réaction à l'ordre, c'est-à-dire exécution immédiate et obéissance, avec un garde-à-vous, s'il le faut.

Les organisations syndicales de tous genres en Tunisie il faut les gommé à jamais et je vous promets qu'il aura dans le plus brefs délais du travail du tourisme et ..........

Ce haut responsable de la gendarmerie dérange car certainement comme beaucoup de generaux de l'armée nationale ont toujours respecter la loi republicaine et le choix democratique.
maintenant si le fait de pratiquer la prière est un crime selon ces syndicats ,il faudrait donc mettre 80pour cents des tunisiens en prison.
c'est de la folie.

Les magistrats doivent assumer leur responsabilité devant ces s et faire preuve de courage il faut les mettre aux arrêt immédiatement.