@Mandhouj.Une juridiction tunisienne inspiré de l'islam ne sera jamais universelle.

Yassine Brahim a plusieurs points en commun avec Mehdi Jomaa dont : Les deux sont d'origine de la même ville : Mahdia, le 2éme qui est le plus important à mon avis: les deux ont fait leurs preuves comme cadres (ingénieurs) à l'étranger notamment en France et ont été appelés pour devenir ministres et ce avec d'autres jeunes cadres comme Mehdi houas, Saîd Aîdi etc..
Voilà pourquoi il le soutienne sans aucun préjugé politique.
Le gros problème dans les partis politiques aujourd'hui c'est le manque de confiance!.

Certains partis (surtout les 0,) n'ont pas d'autres choix que de soutenir le prochain gouvernement ... c'est stratégique !

Un ancien commentaire.
Les objectifs de la révolution, ensemble et pour nous tous
- à maintes fois, nida tounis, le front populaire, al massar, le parti républicain, ont parlé de la finalisation des objectifs de la révolution. Pour être vrai dans ces (leurs) déclarations, il ne faut pas négliger le chemin logique qui fait arriver à ces objectifs nobles (démocratie, liberté, dignité, travail, développement, progrès).
L’unique chemin qui nous amènera à ces nobles objectifs:
1- une justice transitionnelle, (construire un modèle tunisien), qui fera un jour référence juridique universelle, comme les cas allemand, Afrique du sud,…
2- une réconciliation nationale, (les tunisiens n’ont pas le choix), vivre ensemble dans la dignité,
3- la volonté de tous à rompre avec la dictature (c'est à dire, une constitution –haute référence juridique- d'un état civil sur les valeurs de la citoyenneté, et de l'égalité –devant la loi, par genre-, et avec l'essentiel des mécanismes de contrôle démocratique des politiques publiques, de financement des partis politiques, de la société civile et de tout type d'association, syndicat et de fondation),
4- finir la transition dans le cadre du processus démocratique et du consensus. (Le dialogue national, doit être élargie, et orienté vers des solutions qui garantissent les objectifs de la révolution, et non pas changer une légitimité souveraine, par une autre),
Ainsi :
- on ne perd pas le temps,
- on s'inscrit tous dans la révolution contre la dictature et contre la spoliation et contre la relégation/marginalisation de certains de nos régions et quartiers populaires,
- et on s’inscrit dans la volonté de construire la démocratie, où on trouve un réel pluralisme et un vrai combat politique ’’projet contre projet’’ dans le cadre d’un seul et unique référentiel ‘’les objectifs de la révolution’’, et cela permettra de travailler sur un meilleur partage de pouvoir entre les territoires (une bonne décentralisation qui correspond au cas tunisien), et un meilleur partage des richesses.
Ni de gauche, ni de droite, citoyennement le VOTRE.
Ben Ali harab. Et il peut rentrer dans son pays, et laisser tomber el houroub. La justice transitionnelle tunisienne sera meilleure que séjourner en Arabie saoudite.
Est-ce que je suis rêveur ou naïf ?
Mandhouj Tarek.