Pauvre tunisie !!!!!!!!!!!!!!!!!

Marzouki et ceux qui l'on aidé ou soutenu sont loin d'être cons. Ils savaient pertinemment le bruit qu'aller provoquer ce livre. Le but ultime était de mettre au grand jour ce dossier, de mettre sur la place publique l'affaire, de casser le silence coupable, complaisant ou dû à la peur des conséquences.
Eh ben c'est fait. C'est un succès triomphal.
Le déballage est lancé. Il ne fait que commencer et concernera bientôt d'autres sujets. La boule de feu est balancée, les langues se délient et la panique est bien perceptible chez ceux qui ont pris de l'assurance après la révolution en exploitant l'indulgence du peuple et les tergiversations de certains au sein de la troïka.
La place publique est en ébullition: les média, les tribunaux, les partis, les personnalités publiques... Le peuple lui est le grand observateur, le véritable bénéficiaire et le vrai juge.

S’excuser et payer, ou quitter le pays

• Les blessés du Livre Noir réagissent avec une violence terrible,
• Les blessés du Livre Noir menacent la Présidence de la République,
• Les blessés du Livre Noir inventent accusation sur accusation pour se venger du Président,
• Les blessés du Livre Noir menacent avec la justice tunisienne, menacent avec le TPI (Tribunal Pénal International), menacent avec le Conseil de Sécurité des Nations Unies, menacent avec la rue, menacent avec la Ligue Arabe, menacent avec Le Conseil de Coopération des États Arabes du Golfe, menacent avec le Tribunal de l’Union Européenne, menacent avec l’UMA (Union du Maghreb Arabe), menacent avec le Tsahal, menacent avec le NATO.

Les blessés du Livre Noir n’ont pas encore compris que le Mal qu’ils ont causé au peuple tunisien est déjà fait, que leurs noms sont déjà inscrits au Livre Noir et que rien au monde, ne peut changer cet état de fait. Il ne leur reste qu’une seule solution : demander des excuses aux tunisiens et payer, ou quitter le pays.

Il croyait imiter l'inimitable Mohamed Hassanein Heykal égyptien ... et, telle la grenouille voulant devenir un bœuf, voilà qu'il éclate comme une baudruche ...