L’indépendance et la crédibilité se gagnent par la démocratie.
Le projet du front populaire n'est pas un projet pour une société démocratique.
Le front populaire n'a pas une culture démocratique où le verbe parlementer a toute sa place dans les instances démocratiques.
La Tunisie est condamnée à devenir un état démocratique dans le cadre d'une société démocratique avec des institutions et des mécanismes où les contrôles démocratiques, aux politiques publiques, aux financements des partis politiques et de la société civile, ont toute leur place.
L'alliance actuelle entre le front populaire et Nida tounis est une alliance pour empêcher la démocratie de prendre place dans la société.
La démocratisation de notre société signifie:
- qu’un meilleur partage de pouvoir et des richesses entre les individus et les territoires,
- que la Tunisie gagne en indépendance vis à vis des grandes puissances.
- Que la Tunisie gagnera en plus plus de confiance et de crédibilité vis-à-vis des bailleurs de fonds et vis-à-vis des autres pays du monde.
Le front populaire et Nida tounis sont fort soutenus par les spoliateurs nationaux ‘’hommes d’affaires ux’’ et les capitaux étrangers pour empêcher cette démocratisation du pays.

Pour le front populaire, nida tounis et les hommes d’affaires ux, l’Anc est leur ennemi commun.
Ben Ali harab.
Mandhouj Tarek.

La mort politique du front populaire est déclarée par le docteur Salah EDDINE.
Ben Ali harab
Mandhouj Tarek.

Le club des zéros fachel et Nid da Tounès and co (UGTT,...) ont essayé par tous les moyens de destituer la Troyka, ô combien agaçante pour eux, mais en vain. En effet, les grèves tout azimut, les sit-in, l'insitation à l'insurrection, aâtagni, errahil, la Nafoura, la chaine humaine,... et tant d'autres actions pour troubler la vie socioéconomique ont échoué. Les anti-troyka se sont unis autour de la haine à Ennahdha et ont fait appel à leurs
patriarches, savants en acrobaties politico-juridiques pour tenter cette dernière chance : la feuille de route. Ils l'ont appelée aussi dialogue national, mais en fait il n'a rien de national ! Le but n'é&tait pas la recherche d'un chef pour le gouvernement, mais c'était l'extirpation d'une partie du pouvoir, pour laminer (affaiblir) les pouvoirs publics officiels. La prorogation du dialogue dit national à la date du 14 décembre, toute
ptoche du 17, date à commémorer, n'est pas innocente. Le risque d'un soulèvement n'est pa à écarter ! Ainsi, les marxistes-léninistes an co auaraient l'occasion de faire de s dévastations dans le pays à des fains politiuqes. Mais comme nous (mafamille et moi beaucoup d'autres familles) ne sommes pas dupes, cette dernière chance (prononcée par Abbassi) ne réussira pas, comme les précedentes, d'ailleirs.
Il faut :
* terminer la Constit ;
* monter l'ISIE II ;
* écrire le code des élections ;
* fixer une date pour les élections ;
* dissoiudre le Gouvernement ;
* que le Président de lé République nomme un Chef de Gouvernement.

J'ai un peu regardé hier soir Hamma invité du JT d'elwanatia, ce type me fait gerber. Complétement décrédibilisé et pourtant je n'ai pas voté pour Ennahdha.
Il transpire la mauvaise foi et la malhonnêteté intellectuelle. C'est un PETIT politicien.
Ses arguments du refus de M.Ayed ne sont que des prétextes pour dire NON, et cela saute aux yeux.
C'est un MINABLE.