Les communistes extrémistes n'ont aucun espoir d'arriver au pouvoir à travers les urnes... alors ils essaient de faire tomber le toit sur tout le monde.

@ DORRA si tu additionne le nombres des années de prison de tous les membres du parti de hamma hammemi... ça ne peut pas égaler le nombre des années de prison d'un seul membre d'ennahdha...alors tais toi et ne répète plus ces bêtises.

@ Sdiri (canada)
Et bien ok,
L'important est que les tunisiens ne s'écarte pas du processus démocratique, et des objectifs de la révolution.
La révolution de la liberté et de la dignité, n'est ni une révolution de classe, ni une révolution d'un parti politique. Notre révolution est une révolution pour mettre de l'ordre dans la société au niveau de la distribution du pouvoir et des richesses et au niveau de la démocratisation de la vie politique.
Donc, personnellement, je sais que le tout passe par le combat et la résistance, mais sans reproduire les mécanismes de la dictature.
Restons en veille active, et battons-nous pour la démocratie, la justice et le progrès.
Il est vrai que la bonne équation est dur à trouver, mais je suis convaincu que les tunisiennes et les tunisiens arriveront.
Bonne soirée weldlbledi.
Ben Ali harab
Mandhouj Tarek.

@Mandhouj

Si tout cela est OK, alors où se trouve le problème ?
Je m'excuse je ne suis pas d'accord avec certains OK sans ajouter des conditions.
Par exemple:

- Les acteurs de la contre révolution sont les alliés objectifs du terrorisme OK. Donc il faut les arrêter en commençant par la grande tête : Kamel Eltaief. Surtout que celui-ci est accusé de comploter contre la sûreté de l'Etat.

- Il ne peut pas y avoir de démocratisation de la société sans une réelle démocratisation de la vie politique...d’où la nécessité de préserver le pluralisme politique... OK. Mais à condition que ce pluralisme ne soit pas un facteur de support à la contre révolution, d'où la nécessité de le contrôler et ne pas permettre la création de partis qui contredisent la révolution (comme le Nida).

- La Tunisie pourra et elle est capable de concevoir un modèle de justice transitionnelle... OK, à condition de ne pas la transformer en justice de grâce et de pardon à ceux qui ne la méritent pas. Parce que jusqu'à présent on n'a vu aucun résultat positif de la justice transitionnelle. Depuis 2 ans, personne n'a été inculpé, ni condamné et ni même s'est excusé devant tout le monde !

Le dialogue national, quel objectif ?
L’objectif principal du dialogue national, n'a jamais été uniquement et on priorité l'entente sur le nom d'un chef de gouvernement. Les priorités du dialogue national sont:
- Poser ensemble les urgences,
- Déterminer ensemble un programme consensuel,
- Définir ensemble des agendas d'étapes, afin de garantir à chaque fois la réalisation des objectifs d’étapes,
1- au niveau du processus gouvernemental,
2- au niveau au processus transitionnel à l'ANC,
3- Et au niveau du processus électoral,
- Une fois le programme du nouveau gouvernement est posé noir sur blanc, avec l'ensemble des signatures des partis, le cabinet gouvernemental ne plus un problème, il viendra après peu de discussion.
Ainsi on aura gagné une cohésion nationale,
On aura gagné une trêve sociale,
On aura préservé le processus démocratique
Et on ne sera jamais en dehors, ni on s’écarte des objectifs de la révolution.
Alors osons le correct changement.
Ben Ali harab
Mandhouj Tarek.

Mensonge
mensonge
mensonge
mensonge
Nième mensonge

L’heure est au dialogue

Se saisir du dialogue national, pour mettre certaines évidences au clair. La Tunisie ne doit pas louper cette occasion de rencontre entre les acteurs politiques.
- pour une nouvelle équipe au niveau de l’exécutif, qui représente mieux les objectifs de la révolution, ok,
- pour une nouvelle volonté au niveau de l’Anc qui accélère le processus de la transition, ok,
- pour un gouvernement qui avance plus plus en matière de combat contre la précarité d’une large couche sociale, ok,
- guerre contre le terrorisme, OK,
- dans cette guerre ne pas s'attaquer à n'importe qui, OK,
- pour une république de droits de l'homme, et de démocratie, OK,
- pour un pluralisme à travers le dialogue, avec tous les courants d'idées, OK,
- apprendre les bases les plus élémentaires pour un vrai dialogue, OK, et tout le monde doit être dans le sens du respect de l'adversaire,
- la guerre contre la contre bande, OK,
- un vrai et réel combat contre les forces réactionnaires de l'ancien régime, OK,
- contre le terrorisme et la contre bande, la solution sécuritaire a toute sa place, OK,
- la solution par des vraies politiques publiques de développement et de solidarité, OK, et c'est la plus pertinente contre les maux de la Tunisie, Ok,
- les acteurs de la contre révolution sont les alliés objectifs du terrorisme, OK,
- la justice transitionnelle a toute sa place, et c'est une nécessite historique, une exigence politique, et morale. Si la Tunisie loupe la séquence historique de la justice transitionnelle, loupera le changement et la démocratisation de la vie politique, Ok,
- Il ne peut pas y avoir de démocratisation de la société sans une réelle démocratisation de la vie politique. La démocratisation de la vie politique dissipera les peurs, d’où la nécessité de préserver le pluralisme politique, de l’accompagner ver plus plus de maturité. C’est à travers un réel pluralisme politique qu’on pourra avancer sur un pluralisme culturel, Ok,
- La Tunisie pourra et elle est capable de concevoir un model de justice transitionnelle qui lui correspond, et qui aura pour démarche de réparer les injustices, de réhabiliter les exclu-e-s, et pour objectif final de gagner en réconciliation nationale, Ok,
- Osons, le dialogue, osons le consensus, finissons la transition, c’est osons tous et ensemble et pour nous tous la démocratie. OK.
Ben Ali harab.
Mandhouj Tarek.

Tous les politiciens sont dans le tord .

Le club des zéros fachel et Nid da Tounès and co (UGTT,...) ont essayé par tous les moyens de destituer la Troyka, ô combien agaçante pour eux, mais en vain. En effet, les grèves tout azimut, les sit-in, l'insitation à l'insurrection, aâtagni, errahil, la Nafoura, la chaine humaine,... et tant d'autres actions pour troubler la vie socioéconomique ont échoué. Les anti-troyka se sont unis autour de la haine à Ennahdha et ont fait appel à leurs
patriarches, savants en acrobaties politico-juridiques pour tenter cette dernière chance : la feuille de route. Ils l'ont appelée aussi dialogue national, mais en fait il n'a rien de national ! Le but n'é&tait pas la recherche d'un chef pour le gouvernement, mais c'était l'extirpation d'une partie du pouvoir, pour laminer (affaiblir) les pouvoirs publics officiels. La prorogation du dialogue dit national à la date du 14 décembre, toute
ptoche du 17, date à commémorer, n'est pas innocente. Le risque d'un soulèvement n'est pa à écarter ! Ainsi, les marxistes-léninistes an co auaraient l'occasion de faire de s dévastations dans le pays à des fains politiuqes. Mais comme nous (mafamille et moi beaucoup d'autres familles) ne sommes pas dupes, cette dernière chance (prononcée par Abbassi) ne réussira pas, comme les précedentes, d'ailleirs.
Il faut :
* terminer la Constit ;
* monter l'ISIE II ;
* écrire le code des élections ;
* fixer une date pour les élections ;
* dissoiudre le Gouvernement ;
* que le Président de lé République nomme un Chef de Gouvernement qui formmmmmmmmmmmmmmmmmmm

Zied Laadheri malgré que je cautionne pas ses propos, mérite tout le respect par rapport à des gars comme Habib Ellouz, Karkar, Libhiri et compagnies.

Il n’y aura jamais de consensus

Je pense qu’il serait naïf d’attendre un quelconque dénouement au problème « artificiel » de Chef de Gouvernement. Je dis bien artificiel, car ce problème n’existe que dans la tête de ceux qui veulent prendre le Pouvoir sans élections.
Je disais donc qu’il n’y aura jamais de consensus sur un futur Chef de Gouvernement, voici pourquoi :
• Ennahdha a atteint sa limite extrême de concessions. Ennahdha n’a plus rien à offrir comme recul et concessions. Ennahdha cherche un futur Chef de Gouvernement qui ne la remettra pas en prison et qui veillera sur la transparence des élections, car elle espère revenir au Pouvoir,
• Le Front Populaire et Nida Tounes ont atteint leur limite extrême de violence physique et politique. Ils ont tout essayé pour renverser le Pouvoir en place, mais, l’Armée leur a dit non, la Police leur a dit non et le peuple leur a dit non. Le Front Populaire et Nida Tounes cherchent un futur Chef de Gouvernement qui renverra les prochaines élections à l’éternité, et qui, dans la mesure du possible, les débarrassera d’Ennahdha en la
reconduisant en prison. Le Front Populaire et Nida Tounes pensent que, tant qu’Ennahdha est libre, elle gagnera les élections. Sa mise en quarantaine s’impose,

Que faire alors ?
La solution est simple : revenir à la volonté du peuple. Cela veut dire :
• terminer au plus vite la Constitution,
• installer l’ISIE,
• élaborer la loi électorale,
• arrêter la date des élections.

Evidemment, les marxistes léninistes du Front Populaire et les RCDistes de Nida Tounes vont menacer d’un hiver très chaud. C’est du bluff, ils ont tout essayé et ils ont toujours échoué. L’UGTT a déjà commencé sa nouvelle vague de grèves pour nous annoncer l’hiver chaud, mais, les grèves ne seront pas suivies car les tunisiens ont compris ce que cachent ces grèves folkloriques.