La nécessité du dialogue

Se saisir du dialogue national, pour mettre certaines évidences au clair. La Tunisie ne doit pas louper cette occasion de rencontre entre les acteurs politiques.
- pour une nouvelle équipe au niveau de l’exécutif, qui représente mieux les objectifs de la révolution, ok,
- pour une nouvelle volonté au niveau de l’Anc qui accélère le processus de la transition, ok,
- pour un gouvernement qui avance plus plus en matière de combat contre la précarité d’une large couche sociale, ok,
- guerre contre le terrorisme, OK,
- dans cette guerre ne pas s'attaquer à n'importe qui, OK,
- pour une république de droits de l'homme, et de démocratie, OK,
- pour un pluralisme à travers le dialogue, avec tous les courants d'idées, OK,
- apprendre les bases les plus élémentaires pour un vrai dialogue, OK, et tout le monde doit être dans le sens du respect de l'adversaire,
- la guerre contre la contre bande, OK,
- un vrai et réel combat contre les forces réactionnaires de l'ancien régime, OK,
- contre le terrorisme et la contre bande, la solution sécuritaire a toute sa place, OK,
- la solution par des vraies politiques publiques de développement et de solidarité, OK, et c'est la plus pertinente contre les maux de la Tunisie, Ok,
- les acteurs de la contre révolution sont les alliés objectifs du terrorisme, OK,
- la justice transitionnelle a toute sa place, et c'est une nécessite historique, une exigence politique, et morale. Si la Tunisie loupe la séquence historique de la justice transitionnelle, loupera le changement et la démocratisation de la vie politique, Ok,
- Il ne peut pas y avoir de démocratisation de la société sans une réelle démocratisation de la vie politique. La démocratisation de la vie politique dissipera les peurs, Ok,
- La Tunisie pourra et elle est capable de concevoir un model de justice transitionnelle qui lui correspond, et qui aura pour démarche de réparer les injustices, de réhabiliter les exclu-e-s, et pour objectif final de gagner en réconciliation nationale, Ok,
- Osons, le dialogue, osons le consensus, finissons la transition, c’est osons tous et ensemble et pour nous tous la démocratie. OK.
Ben Ali harab.
Mandhouj Tarek.