Mr Saffi Said Vous etes un homme integre et votre raisonnement a toujours ete fonde et ceux qui pensent le contraire ne sont que les nostalgiques de l argent facile et des avantages de leurs patrons trabelsis !!!

Le futur gouvernement, il s’appellera : finir en beauté la transition.
- Le futur gouvernement (après la fin des grandes et principales missions de l’anc.), sera un gouvernement à deux grandes missions principales, organiser les élections, afin d’enlever tous les soupçons sur le déroulement et les résultats des futures élections, et la deuxième grande mission sera la gestion des affaires courantes en bien veillant sur la continuité des projets de développement en cours. Il ne sera en aucun cas un gouvernement qui
engagera la Tunisie sur des choix d’importance stratégique, ce sera du ressort du président de la république (qui est lui élu), et du futur gouvernement après les élections.
- Le futur gouvernement ne sera jamais le gouvernement des grandes reformes, déjà, il n’aura pas le temps, et les grandes reformes impliqueront des grandes et larges distributions des rôles (plusieurs nominassions), et même une refondation de l’action publique, et du moins ça engage l’état dans des dépenses structurelles lourdes. Les tunisiens n’ont pas envie de vivre les mêmes séquences comme à l’époque du gouvernement Bce, avec des
nominations (rien qu’en deux mois d’une vie d’un gouvernement démissionnaire 1200 nominations), plus jamais ça.
- vu plusieurs éléments de circonstances locales, politiques, … les deux premiers gouvernements issus des élections sont nées ‘’faibles’’, avec des grands défis à surmonter, ce futur gouvernement qui va organiser le dernier quart d’heure de la transition, il sera plus que observé de près, il a grandement intérêt de faire doublement attention, il a intérêt de faire doublement attention, et surtout de se limiter à la finalisation ‘’belle
finalisation’’ de la transition.
- pour cela, je propose l’augmentation des attributions de l’actuel président de la république (le président élu), surtout dans le domaine de la sécurité intérieure et de la diplomatie. Ainsi les grandes décisions qui toucheront et qui engeront la décision nationale seront prises par un président élu et non pas par un gouvernement à missions bien définies et bien limitées.
Les tunisiens ont envie de dormir tête reposée.
Ben Ali harab
Mandhouj Tarek.