Vous oubliez tous que le gouvernement est provisoire ; donc il aurait dû , dès le début, être formé de compétences nationales sans appartenance à aucune formation politique et en nombre restreint ; au lieu de cela, ennahdha et ses partenaires se sont précipités sur les postes de ministres et de conseillers (plus de 80, du jamais vu) comme s'ils ont été élus pour 10 ans ; à présent, la seule chose à faire est de réduire le gouvernement et à
s'atteler à finir la constitution et préparer les élections.

Regardez ces tetes de faillite,cette opposition de mes deux,qui salive a l'idée de pouvoir participer a ce qu'elle croit etre la curée!

Le remaniement ministériel est une "tempête dans un verre !". il ne servira à rien ; si ce n'est pour secouer la presse jaune qui vire vers le violet. l'opposition, dont certains étaient cartouni avec zaba, ne cesse de mâcher ce chewing gum ; elle a puisé tout son discours.

@galb_elloz
on pourra être sans ambigüité de ton avis.
-sauf que depuis le début le gouvernement été en manque de communication.
-au lieu de se consacrer à l’exercice politique il se vu obliger de composer avec les défis qui lui lance la rue, 9 avril, les sit in repetitifs devant les sièges des ministères, les sit in pour bloquer les unités de production, les manifestations qui dégénères, l’exemple du port de rades en 2012, l’affaire de l’ambassade américaine, les groupuscules terroristes à plusieurs occasions, les grèves généraux dans plusieurs régions, les actions
engagés de la contre bande, les attaques du théâtre, des expositions culturelles, les circuits de l’économie parallèles… toutes ces séquences ont occuper la seine nationale et le temps des ministres et des constituants.
-le peuple n’a pas manifesté massivement pour soutenir le gouvernement, sauf pendant l’appel à la grève général, dans la rue et sur le web ont étaient mobilisés pour faire reculer le front populaire et nida qui était derrière ce choix de l’ugtt. pour le reste le peuple était observateur (quelle conclusion il en tirera ? on saura lors des élections), ça arrive les affaires des mausolées pour ajouter une complication de plus…
-la campagne de ekbess n’a pas donné ses fruits souhaités (accélérations de la justice transitionnelle, les reformes au niveau des médias, de la justice…),
-le pays n’est pas dans un mur à cause des choix gouvernementaux, mais il est réel ce mur quand on va aux marchés et on trouve des prix dépassant toute limite. le gouvernement n’a pas le contrôle sur l’administration, ni l’administration a le contrôle sur les marchés (il ya beaucoup à faire encore à ce niveau), des milliers de procès verbaux sont établis, ok, mais la situation est là. du moment où l’administration publique (policière et civile)
n’a pas intégré totalement les objectives de la révolution, les choses resteront difficiles pour des gouvernements issus de la révolution. si les groupes nida et leurs contours gaucho/gauchistes étaient à la tête de l’état, la corruption aurait continué pour profiter aux mêmes personnes, et un marché serait conclu entre les reste du rcd et ces groupes d’économie/circuits parallèles, et le consommateur aurait trouvé des prix plus au moins ou
moins à la portée de son porte monnaies.
-sauf que, ce que nida, eljoumhouri et les partis du front populaire ignorent, et ne peuvent pas admettre, qu’ils sont démocratiquement minoritaires, et que s’ils sont au pouvoir les bailleurs de fond ne leurs font pas confiance, vu l’histoire ben ali/trabelssi qui leur colle au q, et là vraiment la tunisie serait dans un mur, et le peuple souffrira davantage, mais va expliquer cela au peuple.
- le mur est réel aussi politiquement, le cpr et ettakattoul sont dans des attentes électorales surtout qu’ils ont perdu la moitié de leurs représentants à l’anc. démocratiquement ne sont plus représentatifs.
-le gouvernement avec une pareille situation ne peut faire ce qu’il voit utile, il n’est pas assuré de la cohésion de tous ses ministres, ni d’une certaine majorité 109 voix pour faire adopter ses textes.
alors un remaniement est une chose qui pourra répondre aux exigences de la période (continuer et accentuer la lutte contre les violences urbaines, menaces terroristes, gestions des affaires quotidiennes, continuité de suivi des projets engagés et qui sont à engager, la loi électorale, la haute instance pour l’organisation des élections, que les examens de fin d’année passent dans des bonnes conditions, la saison touristique, la prochaine entrée
scolaire) voila à titre non exhaustif, d’une part et d’autre part ce remaniement mettra les combines de la psedo opposition en échec. cette dernière va réfléchir à d’autres actions et moyens de nuire, mais le peuple doit être vigilant et veille à ce que la situation ne dégénère pas. cette psédo opposition a beaucoup des moyens, à l’intérieur de l’ugtt dans tous les secteurs de la fonction publique (santé…), la mise à mal aux services apportés à
la population pourra être utilisé, elle a des moyens pour communiquer et dans les médias publiques et privés, et puis leurs soutiens internationaux (sociétés civiles) sont très réactifs, il suffit de voir l’image que véhicule antenne 2 en france (service public), sur la tunisie.
-je pense qu’ennahdha doit mettre ses alliés devant leurs responsabilités politique, morale et historique (devant leur engagement au gouvernement pour finir bien cette période de construction des institutions),
-la balle aujourd’hui et plus que jamais dans le camp du cpr et d’ettakattoul, mais à entendre le porte parole d’ettakatoul s’exprimer après l’intervention du chef du gouvernement, on tombe d’en haut.
-aujourd’hui il ne suffit pas d’avoir 87 constituants pour exiger, il suffit de 10 qui se désolidarisent, et l’échec ou le blocage est là.
-l’opposition sait bien que ce n’est pas la rue qui gouverne par moment de démocratie, pour ça elle produit et construit des nuisances fortes à travers les organes de la société civile, surtout l’ugtt, qui est un symbole. et l’opposition même si elle est incapable de gouverner, elle est capable de nuire et de nuire fortement, et elle est consciente de la faiblesse du cpr et d’ettakatoul.
-le gouvernement sait que ce n’est pas la rue qui gouverne, pour ça il ne demandera pas à la rue de descendre le soutenir, ce n’est pas les manifestants qui votent les textes.
-il est de la responsabilité historique et politique d’ennahda de trouver un issu à la situation pour assurer une ambiance de gouvernabilité , -et les élections prochaines j’espère que le peuple donnera une majorité claire et confortable à l’rcd (nida, eljoumhourie, elmoubadara, le front populaire), ou bien à ennahda seule ou
avec une alliances claire dès le début avec d’autres partis à fin que ça fonctionne. pour ce qui est du cpr et de ettakatoul sont en otage ou bien il s’allient avec le front populaire et nida… ou bien avec ennahda, ni le cpr ni ettakatoul ne sont assurés d’avoir des représentants s’ils partent seuls aux élections, et en plus les deux formations le savent bien,
-donc la campagne électorale est ouverte pour s’assurer du non retour de la dictature rcd/mafia.
ben ali harab. mandhouj tarek.

Jbeli ya messi

malla feinte amalha bihom

Bravo si hammadi!

Je propose que l'anc, propose au 1er ministre, donne carte blanche, de réorganiser son équipe d’une manière à permettre un travail gouvernemental davantage serein et efficace:
-former en urgence et rapidement une équipe restreinte, en regroupant quelques ministères ;
- que l’action de l’anc et du gouvernement soit consacrer sur les défis les plus urgents ;
les urgences :
1- l’adoption de la nouvelle constitution,
2- agenda claire pour les futurs rendez-vous politiques,
3- la date des futures élections législative et présidentielle,
4- la loi électorale, la haute instance independantes pour les élections,
5- la haute instance indépendante des médias,
6- la haute instance de la justice,
7- renforcer l’action du gouvernement dans le domaine de la sécurité, avec plus des moyens pour répondre aux violences urbaines et autres (mausolées…) à titre d’exemple,
8- la lutte contre le terrorisme qui menace notre société,
9- apporter plus des moyens à la justice pour finir avec les affaires d’ordre dictature et révolution (le dossier des prisonniers politiques avec l’impulsion de tous les mécanismes de l’activation de l’amnistie générale, le dossier des martyrs et des blessés de la révolution) , il faut vraiment régler ces affaires au plutôt, il est question des milliers des vies humaines brisées, il est question de justice transitionnelle incontestablement
urgente en terme de justice, et c’est urgent de mettre fin à ces affaires qui divisent la société et qui impliquent des surenchères mal saints politico/politiciens, c’est à ce gouvernement de prendre le taureau par les cornes et de faire ce travail de justice transitionnelle,
10- continuer à faire avancer les dossiers des projets économiques mis en œuvre et en état de faisabilité, sur ce volet la tunisie ne peut pas attendre, les prochaines élections pour ce permettre une pose sous prétexte que c’est un gouvernement restreint et qu’il faut juste se focaliser sur ce qui est politique (constitution, loi électorale, nouvelle isie, futures élections), toutes les équipes qui travaillent sur ces dossiers économiques doivent
avoir les moyens nécessaire (juridiques, réglementaires…), pour avancer et faire avancer notre économie.
11- continuer à lutter contre la vie chère (plus de contrôle sur les prix, la lutte contre la contre bande multiple et varié et la lutte contre les circuits parallèles…),
12- devant nous 6 à 9 mois au maximum pour achever cette période de construction de nos nouvelles institutions, pour ne pas dire (provisoire). c’est à la majorité qui gouverne de prendre sa responsabilité et de ne pas nous montrer des séquences de faiblesse, de fatigue ou de désunions, la tunisie elle est à nous toutes et tous, le peuple nous attend et l’histoire ne pardonne pas. le non retour à la dictature en tunisie est engagé, est tout recul
ou fatigue sont interdits. ce gouvernement n’a qu’un seul choix finir les exigences de la transition (nouvelle constitution, loi électorale, nouvelle isie, organisation des nouvelles élections) et avec tout ça la gestion quotidienne des affaires de l’état est en marche et la gestion quotidienne des affaires de l’état ne signifie pas une pose en matière d’engagement et des futurs projets, notre économie ne pourra pas se permettre. l’environnement
saint pour l’investissement domestique et étranger doit exister, la lutte contre la vie chère doit s’accentuer, gagner davantage en sécurité doit être palpable davantage et plus plus plus pour les tunisiennes et les tunisiens chaque jour.
13- devant nous la saison touristique de l’été, devant nous les examens de fin d’année scolaire du bac… devant nous la prochaine rentrée scolaire, avec plus des classes et plus du mondes (élèves, professeurs…), les trois présidences doivent être mobilisées, chacun dans son domène, et le tout doit être réussi monsieur le 1er ministre. ben ali harab. mandhouj tarek.

M le chef du gouvernement n’oublier jamais que ce sont les électeurs qui ont le dernier mot dans la composition de votre gouvernement ,vous n’avez pas le droit de faire participer les blessés des élections, les électeurs ne vont pas vous le pardonner

Mais d'ou ils sortent ces blaireaux opportunistes qui n'ont pas combattu au moment ou ben ali détruisait le pays ils feront mieux de retourner dans leur terrier c'est une chimère

Rabbi issahel